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mardi 2 janvier 2018

Saint-Sylvestre : "lynchage" de policiers et incendies en hausse laissent Collomb ravi

Peut-on faire confiance au ministre de l'Intérieur et à la presse institutionnelle ? 
La vérité est venue des réseaux sociaux...

Hausse du nombre de véhicules incendiés et d'interpellations par rapport à 2016


1.031 véhicules de travailleurs ont été incendiés et quelque 500 criminels interpellés lors de la nuit de la Saint Sylvestre. 
Les chiffres des dégâts sont en hausse par rapport à l'an dernier, au cours de la nuit du réveillon du Nouvel An, a indiqué lundi le ministère de l'Intérieur dans un communiqué publié sur Twitter, "soit directement, soit par propagation." "Si ce nombre demeure moins élevé qu'en 2012 (1.193) et 2013 (1.067), il est en légère hausse par rapport à l'an dernier (2016, 935). Ces faits ont concernés les départements urbains traditionnellement touchés par ce phénomène", banalise la Place Beauvau, tranquille. 
Des véhicules incendiés un peu partout en France, révèlent les media régionaux.
En région île-de-France, Le Parisien donne les chiffres de 250 voitures brûlées et 197 personnes placées en garde à vue. D'après Ouest France, cinq véhicules ont été brûlés à Rennes. En Auvergne-Rhône-Alpes, une dizaine de véhicules ont été endommagés, selon Le Dauphiné. A Strasbourg, on ne recense pas moins de 75 véhicules brûlés, selon le syndicat de police Alliance, et France Bleu Alsace ajoute qu'une quinzaine de voitures auraient aussi été mises à feu à Mulhouse et six à Colmar. La Voix du Nord rapporte la dégradation de deux véhicules à Dunkerque, et neuf dans la région de Roubaix à croire Nord Éclair. Enfin, à Toulouse, plus de 40 voitures ont été incendiées relate La Dépêche.
Deux voitures brûlées dans la nuit du Nouvel An à Strasbourg en 2014 (image d'illustration)Au total, le ministère de l'Intérieur a comptabilisé huit policiers et trois militaires de l'opération Sentinelle blessés.
Le nombre des interpellations est également en sensibleConcernant les arrestations, "510 personnes ont été interpellées, en augmentation sensible par rapport à l'an dernier (454 interpellations en 2016). Le nombre de personnes placées en garde à vue a également augmenté de plus de 10% durant la nuit (349 gardes à vues en 2017, contre 301 en 2016).


Les festivités "se sont bien passées" en France, assure pourtant Collomb

Globalement, le ministre de l'Intérieur est content de lui. 
Les festivités de la Saint Sylvestre dimanche "se sont bien passées" en France, a assuré lundi le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb lors d'une visite au commissariat de ...Champigny, ville communiste depuis 1950 : l'anticolonialisme est est des fonds de commerce du PCF qui réussit fort bien auprès des jeunes qui ne l'ont pas connu, comme le terrorisme, auprès des jeunes djihadistes. 

Le dispositif de sécurisation de la nuit de la Saint-Sylvestre fort de 140.000 personnels, "a été particulièrement efficace,"
a estimé Gérard Collomb.

"Les gens ont pu jouir de la nuit de la Saint Sylvestre de manière pacifiée", insiste Collomb

Voiture de police retournée et gourdins
Dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, deux policiers ont été passés à tabac par une foule de plusieurs dizaines de "personnes" (sic), à Champigny, dans le Val-de-Marne.
A l'origine de l'agression, une soirée préparée en toute illégalité, dans un hangar, au milieu d'une zone artisanale. Lorsque la soirée afficha complet, une partie des 200 "adolescents" venus de toute l'Ile-de-France tenta de forcer l'accès dans une cohue indescriptible. 
La police, appelée, fut alors immédiatement prise à partie et deux fonctionnaires roués de coups pendant plus d'une heure. Une scène qui aurait mobilisé entre 400 et 500 personnes présentes en tout sur les lieux de la soirée. Pour rétablir l'ordre, les policiers ont décidé d'utiliser des lanceurs de balles de défense et des grenades de désencerclement. La situation n'est revenue au calme que vers deux heures du matin.

Après l'agression violente de deux policiers à Champigny-sur-Marne, dont de terribles vidéos circulent sur les réseaux sociaux,
l'enquête a débuté, en commençant par le décryptage des fameuses images qui ne sont évidemment pas dues à la presse dite d'investigation. Sur une première vidéo, une voiture retournée et frappée dans l'allégresse par des jeunes déchaînés, a été évacuée. Sur une deuxième, des garçons qui chantent "allumer le feu". 
Mais, diffusées sur les réseaux sociaux, d'une durée de quelques secondes seulement, trois autres vidéos - au moins - ont traumatisé les visionneurs sur le retour de ces jeunes à la barbarie. On y distingue, de manière chaotique, une femme en tenue de police, recroquevillée au sol, et des jeunes qui la frappent à coups de pieds, certains en passant, d'autres en s'acharnant. Les coups pleuvent, on croit les entendre sur fonds de cris de joie. La jeune gardienne de la paix s'en sort avec des contusions et sept jours d'ITT. Au même moment, le capitaine qu'elle accompagnait, isolé lui aussi, est frappé au visage. Le nez cassé, il écope de dix jours d'interruption de travail.

Un policier frappé lors d'un contrôle à Aulnay-sous-Bois.

Deux policiers ont été pris à partie et l'un d'entre eux a été tabassé lundi 1er janvier à Aulnay-sous-Bois (gérée par la gauche socialo-communiste de 1944 à 1983), en Seine-Saint-Denis, "par plusieurs personnes" [sic], alors qu'ils voulaient contrôler un scooter volé: il souffre de contusions à la tête et d'une entorse au poignet, a-t-on appris de sources policières, reprises par Le Monde, dans un compte-rendu minimaliste. Les faits se sont produits peu avant 18h dans la cité des 3.000L'autre fonctionnaire a tiré en l'air avec son arme de service à deux reprises pour "calmer la situation", a précisé l'une de ces sources. Au moins deux personnes ont été interpellées et placées en garde à vue.

Un collectif de mères, nommé "les femmes capables" ont arpenté les rues de la cité de l'Europe à Aulnay-sous-Bois,
pour éviter les débordements du Nouvel An. 
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Cette ville concentre plusieurs affaires, telle celle de Yacine, mort dans des circonstances troubles, ou de Théo, du nom de cette prétendue victime d'un viol présumé à la matraque lors de son interpellation en février 2016.
L'objectif de ce groupe d'une vingtaine de femmes était, en faisant le tour des immeubles de la cité à pied, équipées d'un gilet orange, "zéro voitures brûlées". Mohammed, 18 ans, rigole : "C'est nos mères; c'est pire que la police. [...] On ne veut pas qu'elles nous voient dehors et tout." Une police parallèle que ne dénoncera pas Jean-Louis Burgat...
Sans les réseaux sociaux, on aurait pris pour argent comptant la déclaration de la porte-parole de l'association des Femmes capables, Mariame Gassama, qui s'est félicitée de la baisse progressive des débordements le soir du Nouvel An dans cette cité.

Des policiers caillassés à Stains après avoir sauvé des enfants d'un incendie

Des policiers ont été félicité de leur héroïsme par des jets de projectiles par des "jeunes" à la sortie de l'immeuble où ils venaient de sauver trois enfants des flammes, à Stains en Seine-Saint-Denis. La commune, actuellement gérée par Azzédine Taïbi, est un fief communiste depuis ...1935. Il est le "1er maire "beur" des banlieues de Seine-Saint-Denis", selon France 3 qui, en mettant cette caractéristique en valeur, n'est pourtant suspecté ni de communautarisme, ni de racisme... Et l'AFP de renchérir : "avec quatre maires dans des villes de plus de 30.000 habitants, les minorités visibles - d'origine maghrébine ou africaine notamment - ont progressé lors des élections municipales malgré une vague bleue qui leur était défavorable".

"Les braises nous tombaient dessus". Ce jour-là, à l'intérieur de l'appartement, Glodji, 11 ans, veille sur son petit frère et son cousin. Sa mère est sortie "quelques minutes, le temps de faire une course", ce qui n'est pas autorisé aux parents d'enfants en bas âge, dans d'autres pays européens. 
Gwennaël, 35 ans, brigadier-chef, se précipite dans les escaliers. Le hall est déjà enfumé. "On avait du mal à respirer à partir du premier étage. Au troisième étage, des braises nous tombaient dessus. On s'est relayés pour mettre des coups de pied dans la porte, mais elle ne voulait pas céder. Finalement, c'est venu. On s'est engouffrés dans l'appartement, et on entendait les enfants crier", se souvient-il. 
A-t-il pensé qu'il se portait au secours d'un petit "caucasien" (trois) ou d'un étranger qui le tabasserait bientôt, à la première occasion, en représailles du temps lointain de la colonisation qu'il n'aura pas connue autrement que par endoctrinement par la gauche de Seine-Saint-Denis, comme de la presse et de de l'Education nationales ? "On avait les enfants dans les bras, les projectiles auraient aussi bien pu les toucher", dénonce le policier. 
Au lendemain du passage à tabac de deux policiers dans le Val-de-Marne, et du caillassage de Stains, les forces de l'ordre dénoncent un climat de violence de plus en plus intolérable.

"Les gens ont pu jouir de la nuit de la Saint Sylvestre de manière pacifiée", insiste Collomb


A-t-il toute sa tête ?
L'agression de Champigny, filmée et largement diffusée sur les réseaux sociaux, a fait réagir Emmanuel Macron qui a promis sur Twitter que les "coupables du lynchage lâche et criminel des policiers" seraient "retrouvés et punis".

"Je regrette que des incidents comme ceux d'hier puissent se passer mais dans l'ensemble les gens ont pu jouir de la nuit de la Saint Sylvestre de manière pacifiée", a osé déclarer Gérard Collomb, qui a fait état de "quelques autres policiers blessés de manière totalement bénigne" ailleurs en France. "Dans la France entière nous avons noté très peu d'incidents", a-t-il insisté, sans dévoiler le nombre de voitures brûlées ni le nombre d'interpellations effectuées lors du Nouvel An.

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