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vendredi 27 mars 2015

"Monsieur Hollande a une spécialité : mentir", souligne Sarkozy sur France 3

Nicolas Sarkozy a dit ce que pense les Français qui ne peuvent se faire entendre

Nicolas Sarkozy a dénoncé les tromperies du président de la République et de son Premier ministre

A quelques heures de la clôture de la campagne du second tour des élections départementales, il était en terrain hostile sur le plateau du 19/20 de France 3 vendredi 27 mars. "Qui croit encore aujourd'hui ce que dit monsieur Hollande", a lancé le président du premier parti politique de France. "Monsieur Hollande a une spécialité : mentir", a insisté l'ex-président de la République.


Il a également dénoncé les mensonges du pouvoir qui présente la hausse des chiffres du chômage comme un mieux, en tripatouillant les chiffres publiés jeudi : "Monsieur Hollande avait promis -c'était sûr- qu'on serait à 3% en 2013, nous sommes à 4%." 

Et
à propos du déficit public, "si c'est un peu moins pire que prévu, c'est parce les collectivités locales ont décidé d'arrêter les investissements," a-t-il expliqué.

L'UMP prépare l'alternance

"Monsieur Valls est le porte-parole des mensonges de monsieur Hollande". 
Le président de l'UMP n'avait pas de raisons d'épargner le Premier ministre qui conduit le pays à sa perte en vociférant contre ses opposants de droite comme de gauche, vitupérant notamment après les députés Darmanin et Marion Maréchal Le Pen. Il ne réalise pas qu'en agressant la droite il pousse ses électeurs à voter FN contre le front républicain qu'il appelle de ses voeux.
VOIR et ENTENDRE les sifflets des agriculteurs qui ont accueilli Valls et Le Foll, son ministre intermittent de l'Agriculture, lors du Congrès de la FNSEA à Saint-Etienne, le 26 mars 2015:
On aura observé qu'après l'agitation incontrôlée de sa main gauche dans l'hémicycle, c'était cette fois son pied droit qui était agité de tremblements irrépressibles.
Sarkozy a insisté sur l'alternance que prépare son parti à partir de dimanche dans les départements et"l'alternance pour dans deux ans".

La liberté de vote

Pour le second tour des départementales, face au FN, "je ne veux pas donner de consigne de vote", a déclaré Nicolas Sarkozy.
Il a toutefois mis en garde les électeurs tentés de choisir le parti de Marine Le Pen : "En faisant ça, ils auront un conseiller général socialiste de plus, un président de conseil départemental socialiste de plus."
Il a également évoqué les abstentionnistes par une métaphore.

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