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dimanche 22 septembre 2013

Les Allemands ont choisi de garder Merkel: l'hostilité de Hollande n'a pas rapporté à la gauche

Les attaques des médiocres du PS ne l'ont pas déboulonnée

L'Allemagne n'est pas le Mali

Ces derniers jours,
la presse française avait arrêté les frappes médiatiques sur la politique de Merkel initiées par le PS. 
La victoire aurait été d'autant plus désobligeante pour Hollande et sa bande que sa presse  aurait persévéré dans le harcèlement, alors que son succès apparaissait comme une évidence. 

Angela Merkel devrait donc pouvoir gouverner seule

La droite conservatrice (CDU-CSU) de la chancelière aurait remporté la majorité absolue
 des sièges au Bundestag aux élections législatives de ce dimanche 22 septembre, selon les estimations des chaînes de télévision publiques.
Le "sale mec" Hollande devra la féliciter.
Angela Merkel est déjà chancelière depuis deux mandatures, soit huit ans.

Selon des estimations à 19h10, la droite n'aura pas besoin de coalition 

A gauche, les sociaux-démocrates du SPD n'auraient recueilli que le quart des suffrages (26 à 26,5%).
La chancelière n'aura pas à s'allier à l'opposition sociale-démocrate (SPD),  ce qui n'est arrivé qu'au chancelier Konrad Adenauer en 1957. En France, Hollande doit à l'inverse ménager ses soutiens branlants de la gauche extrême des communistes et des altermondialistes écolos.

Polémique sur Merkel : le PS cherche le coupable, 
mais n'exprime aucun regret

Le PS s'interroge sur un fuitage et non pas sur son indécence. 
En avril dernier, le brouillon rédigé par la direction du Parti socialiste pour la convention Europe s'était retrouvé dans la presse, alors même que la Commission de résolutions du parti était en train d'en débattre. Le document initial fustigeait "l'intransigeance égoïste" de la chancelière allemande, Angela Merkel, et appelait à un "affrontement démocratique". 

La crème de la gauche vertueuse
"Une personne bien intentionnée a pensé utile de faire fuiter un texte qui n'était en aucune façon celui que les socialistes avaient envie de porter", raconte à qui voulait l'entendre, Luc Carvounas, proche de Manuel Valls, qui parle là de "faute politique majeure", classée sans suite. "C'est parti en vrille. Et ce qui est complètement dingue, c'est que le texte ne comportait plus d'attaques sur Merkel au moment où ça a fuité", prétend Guillaume Balas, membre du bureau national du PS et proche du courant de Benoît Hamon, Un monde d'avance.
Le laxisme Rue de Solférino
Pas question pour autant de personnaliser le problème : "Le faire porter sur le seul Harlem Désir est insuffisant, c'est plus complexe," estiment certains qui se refusent à impliquer le président dans sa désignation d'un incapable à la tête du PS qui ne risquait pas de lui faire de l'ombre à sa suite... Ca arrange donc Hollande que Désir H soit un psycho-maniaque qui ramène tout au fascisme et au racisme. Point barre !
"Il y a un problème majeur de pilotage politique, ça ne me paraît pas assez acceptable", insiste toutefois Marie-Noëlle Lienemann. La sénatrice, membre actif du bureau national du PS  sur son aile gauche déplore "un état de désorganisation inquiétant, aussi bien au sein de la majorité du parti qu'au gouvernement"
Les "sales mecs" ne manquent pas plus au PS qu'au SM et continuent de sévir: les socialistes adoptent d'ailleurs le même mode de défense que les juges rouges du Syndicat de la Magistrature qui se justifiaient en assurant que leur Mur des cons était à usage interne. 
Ni égoïstes, ni intransigeants envers eux-mêmes, ils s'étaient simplement oubliés !

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