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mardi 21 août 2012

Velléitaire, Nono Montebourg se rêve en révolutionnaire industriel

Nono veut mener la "3e révolution industrielle"

Le projet des socialistes est - ou plutôt sera-  de "conduire la France sur la route de la troisième révolution industrielle", assure Arnaud Montebourg.




Le 
ministre du "Redressement productif" était fort éméché dimanche, lors de la 40e édition de la Fête de la Rose à Frangy-en-Bresse en Saône-et-Loire, devant un millier de militants, par une canicule très arrosée.



PSA oublié !

Verbeux comme à son habitude à jeûn, il s'agirait selon lui "de la rencontre entre les énergies renouvelables et les technologies numériques", estimant que cette révolution, "alliage de l'autorité et de l'audace", va "créer des emplois nouveaux", des "produits nouveaux" et "des objets nouveaux".
Il s'est dédouané d'une opposition socialiste paralysante de cinq ans
Nono a le sentiment que le quinquennat Sarkozy a laissé un pays "en triste état", "désindustrialisé", connaissant "l'épuisement moral". Selon lui, le chef de l'Etat sortant aurait oublié de "faire la guerre aux plans sociaux".


Un destin européen pour le partisan du "non" au "projet de traité établissant une Constitution pour l'Europe " (2004-2005)




"Réorienter l'Europe au service de la croissance"
Considérant que le "redressement moral de la France" pourrait passer  par "la fin du laissez-faire", comme dirait Manuel Valls aux Rom et aux casseurs. 

Il a désigné les banques à la vindicte populaire, en appelant à "ne plus laisser les excès de la finance se retrouver contre l'économie et la croissance".
Le redresseur déclare la guerre  à la finance :"ne plus laisser faire les excès de pouvoir des financiers sur les entreprises", à "réorienter progressivement l'Europe au service de la croissance".

Le candidat de la primaire socialiste défendait un  programme de "démondialisation" 

Le ministre de François Hollande oppose les acteurs économiques:  l'"intérêt industriel", "l'intérêt entrepreunarial", et "l'intérêt humain" sont supérieurs aux intérêts financiers".
Montebourg  dit tout et son contraire, avec conviction et affectation 
(Frangy-en-Bresse, août 2012):

Le Don Quichotte déterre la hache de guerre contre les banques
  
"Le gouvernement donnera toujours la préférence aux choix industriels plutôt qu'aux décisions de confort financier", a-t-il dit. Selon lui, "la reconstruction de notre industrie" est "une grande cause nationale" relevant "de la responsabilité de tous".

L' " abaisseur négatif " tire ainsi dans le dos de Pierre Moscovici...

6 commentaires:

  1. Grand carnaval, tous les ans c'est pareil, du théâtre avec de piètres acteurs !

    Avec quel argent les Français pourront acheter puisque les impôts devraient augmenter ?

    La grandiloquence n'a jamais fait pousser les industries sinon ça se saurait !

    Mouiller sa chemise pour défendre les libertés, LA LIBERTE dans ces pays où l'on peut tuer pour blasphème a sans doute plus d'allure !

    http://lci.tf1.fr/monde/asie/pakistan-une-jeune-chretienne-arretee-pour-blaspheme-7461569.html


    Les moulinets de bras, les ronds de jambe paraissent décalés, voire déplacés par rapport à la période dans laquelle le monde évolue.


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  2. Publié le 20 août 2012 par BERNARD RAQUIN

    Hollande, une chance pour la France !

    Je ne fais pas partie des électeurs de François Hollande.
    Je ne peux voter pour un parti qui distribue généreusement des leçons de bonne conduite, tout en abritant un nombre ahurissant d’élus condamnés par la justice.
    Je considère aussi que François Hollande n’a pas la capacité psychologique de devenir un leader ; et que, d’atermoiements en reculs, l’idéologie passéiste et la mesquinerie ne peuvent masquer l’inanité des actions.
    Chacun a pu estimer, selon ses propres critères, le bilan de ses trois premiers mois en tant que Président.

    Mais en quoi l’élection de François Hollande est-elle une chance pour la France ?
    Les cinq ans à venir sont une opportunité formidable de faire de la pédagogie.

    Concernant les syndicats :
    Les syndicats, on le sait, ne représentent que 8 % des salariés, et beaucoup moins si l’on exclut les retraités, appartenant pour l’essentiel à des professions protégées, ou anciennement protégées (la Poste, le Livre, les cheminots, les dockers, EDF etc.)
    Le nombre de « permanents syndicaux » en France, est le plus élevé d’Europe. Les syndicats ont surtout une capacité de blocage et de nuisances, notamment pour protéger certaines professions et leurs retraites.
    Pédagogie : le système syndical doit être réformé, afin que tous les salariés, ou l’immense majorité, puissent être syndiqués et représentés.
    Il est indispensable que le financement des syndicats se fasse par les cotisations des syndiqués, et non, comme c’est le cas actuellement, par des financements publics et des financements occultes.
    Ceci, pour fluidifier les relations sociales, et favoriser la concertation avec des syndicats qui seraient réellement représentatifs.

    Concernant l’immigration :
    On ne peut plus feindre que nous sommes toujours dans les « 30 Glorieuses », et que l’on peut faire venir et assimiler un nombre considérable d’immigrés, sans en subir des conséquences dramatiques, y compris pour les descendants honnêtes d’immigrés.
    Pédagogie : il ne me semble pas du tout acceptable que l’on puisse régulariser des clandestins. J’estime qu’il s’agit d’une incitation à la délinquance, et au non-respect des lois, qui va à l’encontre de la souveraineté du peuple français, et de l’égalité devant la loi.
    Les Français ont donc cinq ans devant eux pour définir leur politique d’immigration.
    Doivent-ils accepter de nouveaux immigrés ? Et que faire des immigrés qui visiblement refusent de s’intégrer, voire même manifestent leur hostilité au pays d’accueil ?




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  3. suite B. Raquin
    Concernant les fonctionnaires :
    Pour être issu d’une famille de fonctionnaires, je sais bien que la plupart d’entre eux travaillent sérieusement. Il ne s’agit donc pas d’être contre les fonctionnaires en tant que personnes.
    Mais, à partir du moment où le poids de l’État dépasse 56 % du PIB, nous sommes dans la situation du « radeau de la Méduse ». L’État, engoncé dans son obésité, ne satisfait plus personne.
    Pédagogie : nous avons cinq ans pour étudier ce qui marche dans d’autres pays, pour réduire le coût de l’État, tout en assurant le meilleur service aux administrés.
    L’État ne peut plus être ce tonneau des Danaïdes, dépensant follement, puis demandant aux citoyens de régler ses factures.
    Nous devrons réviser les échelons administratifs et le coût de l’administration, à tous les niveaux.
    Le mot « efficacité » doit retrouver sa noblesse, y compris chez les fonctionnaires.

    Concernant le parasitisme :
    On ne peut plus faire l’amalgame entre des gens « faibles » et des gens « assistés ». Tout le monde connaît des personnes détruites par l’assistanat, et qui passent leur vie dans une longue misère et une longue plainte revendicative.
    Il est normal que l’État s’occupe des faibles. Il est en revanche inacceptable que des gens profitent toute leur vie du travail des autres, sans contribuer en rien à la société.
    J’estime aussi que l’assistanat est une atteinte à la dignité humaine, car elle empêche celui qui est mis sous perfusion par les différentes aides sociales, de trouver sa force intérieure.
    Autant il est enthousiasmant d’être aidé quand on est dans la difficulté (maladie, dépression, accident, deuil, chômage et même drogue), autant l’image de soi est minée lorsqu’on reçoit en permanence, sans rien donner.
    Pédagogie : commencer par séparer, dans la réalité, ce qui relève des aides ponctuelles de solidarité et de réinsertion, et ce qui concerne un parasitage organisé.

    Concernant l’enseignement :
    Puisque le système éducatif produit au moins 30 % d’analphabètes en fin de cycle, nous devons restaurer l’autorité du professeur.
    L’éducation n’est pas une négociation. Il y a celui qui sait : l’enseignant. Et il y a celui qui apprend : l’élève.
    Que vous appreniez la mécanique, le piano, la cuisine, le yoga, ou quoi que ce soit : jamais l’élève ne peut se trouver dans une situation égalitaire avec son enseignant.
    Pédagogie : nous avons cinq ans pour réfléchir avec les enseignants, les spécialistes de l’enseignement, et les parents d’élèves, pour restaurer l’enseignement.
    Ceci afin de rétablir la méritocratie, et de permettre à tous les citoyens français, quelle que soit leur race, d’accéder à la culture. Et la culture commence par l’alphabétisation.

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  4. suite B. Raquin

    Concernant la délinquance :
    En refusant de voir la réalité des faits, les politiciens ne rendent pas service aux délinquants. Oui, il y a des causes aggravantes de la délinquance. Et ces causes ne viennent pas de la misère, mais des mentalités.
    Mon pronostic est que les attitudes et déclarations du ministre de l’Intérieur et de la ministre de la Justice actuels, aggraveront la situation.
    Pédagogie : abandonnons les théories misérabilistes et victimaires, qui ont échoué depuis 30 ans. Regardons la réalité en face. Dans une même situation, la délinquance ne touche pas toute la population. La délinquance est encouragée par des modèles, et par l’impunité judiciaire.
    Nous avons cinq ans pour réfléchir à ce qu’est la délinquance, sa véritable origine, et ce qui marche pour la réduire.
    Dilapider l’argent des travailleurs en « politique de la ville » n’a rien résolu, et ne résoudra rien.
    Avant de prétendre que « la prison favorise la récidive », interrogeons-nous plutôt sur la raison qui fait que des personnes condamnées des dizaines de fois pour des faits graves, soient toujours en liberté. (La question de l’impunité fera l’objet d’un prochain article, donc je ne m’étendrai pas sur ce point aujourd’hui.)
    Le système judiciaire doit être entièrement recentré autour de la victime

    Concernant l’entreprise :
    Les fonctionnaires, quels que soient leurs mérites, ne sont pas formés pour créer des emplois. Le gouvernement Hollande, composé exclusivement de gens n’ayant jamais créé un seul emploi, n’a aucune chance d’y parvenir.
    Les « emplois aidés » seront imposés aux entreprises, en dépit du bon sens. Ce qui revient à substituer un fonctionnaire au chef d’entreprise.
    L’échec de cette politique, déjà en 1981, produira les mêmes effets : aubaine pour certaines entreprises qui souhaitaient embaucher, pesanteur pour les autres. Le coût final sera de toutes façons supporté par les contribuables, avec tous les effets effets pervers que cela induit.
    Pédagogie : nous avons cinq ans pour nous préparer à redonner aux Français le goût de l’initiative, de l’entreprise, de la liberté. Et, avant tout, de garantir la liberté entrepreneuriale dans la Constitution.





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  5. Suite et fin

    La novlangue, l’origine de tous les maux :
    Il est très naturel, chez les êtres humains, de se protéger d’une réalité désagréable, en la niant, puis en la renommant.
    Mais le déni de réalité, non seulement ne protège pas de la réalité, mais prépare un « retour du refoulé » d’autant plus violent qu’il a été plus violemment pratiqué. Ceci est valable aussi bien pour les individus, que pour les collectivités.
    C’est ainsi que l’horreur des viols collectifs a été appelée « tournantes ».
    C’est ainsi que des actes graves ont été appelés « incivilités ».
    C’est ainsi que des voyous hyper violents ont été appelés « sauvageons » ou « jeunes ».
    C’est ainsi que des émeutes ont été appelées « mouvements de colère ».
    C’est ainsi que des actes racistes commis contre des blancs, des chrétiens, ou des juifs, ont été minimisés et niés.
    Traiter de « fasciste » ou de « nazi » ceux qui nomment la réalité, ne fait qu’éloigner les solutions, et aggrave considérablement les problèmes.
    Pédagogie : on ne peut régler un problème, quel qu’il soit, sans poser un diagnostic qui mette des mots sur la chose. Refuser de faire un diagnostic, refuser de nommer la réalité, conduit à la schizophrénie sur le plan psychologique, et à l’échec sur le plan social.

    Notre modèle républicain français ne fonctionne plus. Provocations islamistes permanentes, ghettoïsation, échec scolaire, délinquance démente, sont des maux que nous devons, et que nous pouvons, soigner.
    Et pour les soigner, il faut commencer par les appeler par leur nom.

    Je ne souhaite pas l’échec de Hollande, qui serait aussi l’échec de la France. S’il réussit la moindre mesure, je serai le premier à l’en féliciter. Mais comme il est prisonnier d’un système de pensée obsolète, je suis hélas certain que son gouvernement aggravera tous les maux de la société française.

    En ce sens, oui, l’élection de François Hollande est une véritable chance pour la France, car ce gouvernement réunit tous les ingrédients nécessaires à un échec cinglant, sur tous les plans.
    C’est pour nous, républicains dans l’opposition, la chance de poser le vrai mot sur chaque chose.
    Il faudra 20 ans pour parvenir à rétablir le modèle français. Commençons tout de suite à proposer des solutions.
    Préparons-nous dès maintenant, afin que, dans cinq ans, nous nous libérions de l’idéologie d’inspiration marxiste, de l’idéologie jacobine, de l’idéologie bisounours.
    Afin que la France, pays original et créatif, retrouve sa véritable place dans le concert des nations.

    Bernard Raquin
    20 août 2012




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  6. C'est sûr que ce gouvernement va à l'échec sur tous les fronts :

    a-t-on déjà vu des socialococos créer une usine , et rendre des ouvriers et leurs cadres heureux ?????

    Ils critiquent et dénigrent mais comme dit Jeannine c'est du carnaval, du bluff, rien de plus.

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