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mardi 14 août 2012

L'AFP ose titrer: "les 100 jours de Hollande sous le signe de la sécurité et de la fermeté républicaine"

L'agence de presse donne le ton de la désinformation
En servant Hollande, la presse socialiste trompe l'opinion  

L'AFP cite servilement le président


La sécurité serait "non seulement une priorité mais une obligation", prétend le président Hollande, en dépit d'une accumulation de violences diverses qui ont ponctué les cent jours suivant son élection.  L'agence de presse se satisfait d'une nouvelle déclaration creuse de  François Hollande qui a promis mardi dans le Var de répondre avec toute la rigueur républicaine à l'insécurité. C'était  lors d'une visite coïncidant avec les violences survenues dans la ville socialiste d'Amiens.
Le chef de l'Etat était allé en voisin du Fort de Brégançon (Var) se montrer à Pierrefeu-du-Var 
"Sous le signe de la sécurité" deux mois plus tard,  il a rendu un hommage, le 14 août, à Alicia Champlon, 29 ans, et Audrey Berthaut, 35 ans, deux jeunes femmes gendarmes tuées par un délinquant multirécidiviste, le 17 juin, à Collobrières, un village voisin, histoire de redresser sa courbe de popularité en chute libre, pendant qu'il faisait de la bronzette sur la plage.
Les mis en examen 
Abdallah Boumezar, 30 ans, 1,80 m, 30 ans, qui a déjà purgé plusieurs peines de prison, a bénéficié de la complicité de sa compagne, âgée d'une vingtaine d'années. Dans l'enquête sur la mort de deux femmes gendarmes, le premier fait figure de suspect numéro 1. Il a d'ailleurs reconnu devant les enquêteurs avoir tué Alicia Champlon, 29 ans, et Audrey Berthaut, une mère de famille de 35 ans, intervenues pour un différend à la suite d'un vol.Son frère, Chaouki Boumezar, en a brossé mardi un portrait sans complaisance : "Il était incontrôlable, psychologiquement abattu, il a tué les gendarmes mais il aurait pu tuer ma mère, ma soeur ou moi. C'est un garçon qui a fait pas mal d'années de prison, c'est la déchéance. J'essayais de le recadrer". Condamné à plusieurs reprises depuis 2000 pour infraction à la législation sur les stupéfiants et vols, Abdallah Boumezar était sorti de prison en septembre après six ans d'incarcération. Le 13 juin dernier, il a été condamné à six mois avec sursis-mise à l'épreuve pour violences sur sa mère. Il avait été envoyé chez sa tante à Collobrières pour commencer une nouvelle vie.
Sa mère a fait visiter lundi à des journalistes son appartement récemment dévasté par la colère d'un fils souvent sous l'emprise de l'alcool. Cette femme abandonnée a regretté la non-application de peines plancher, mais, conseillée par son avocat, elle a aussi orienté le tribunal, estimant que son fils aurait dû être dans un hôpital psychiatrique. 
"Sous le signe de la fermeté républicaine", il s'est aussi exprimé après une nuit d'affrontements dans le chef-lieu de la Somme, où une centaine de jeunes se sont violemment opposés aux forces de l'ordre, mettant à sac plusieurs bâtiments publics dont une école maternelle.
Nouvelle promesse présidentielle sans frais
"Tous les moyens de l'Etat" seront mis en oeuvre pour lutter contre ces violences, a lancé le président de la République, accompagné du ministre de l'Intérieur Manuel Valls, lequel s'est fait huer à son arrivée à Amiens. 
Lien PaSiDupes
"Avec moi, la loi s'applique partout et fermement", a renchéri la "gauche molle", avant de prendre le chemin d'Amiens.


Le nouveau pouvoir socialiste est en terre de mission sur les questions de sécurité. 

Un bien singulier commentaire de l'AFP !
Selon un sondage Ifop pour Le Figaro publié samedi, seulement 35% des Français font "plutôt confiance" à François Hollande et au gouvernement pour "lutter efficacement contre l'insécurité": "la fermeté républicaine"...

"Le message présidentiel se voulait donc sans ambiguïté mardi dans le Var",   de l'avis de l'AFP en tout cas, quitte à prendre des accents sarkoziens quand le "capitaine de pédalo" a évoqué l'exigence d'un meilleur "suivi" des récidivistes.
Hollande s'en prend au système pénitentiaire
"Comment comprendre qu'un condamné qui vient de purger sa peine puisse ne pas avoir de suivi, de contrôle, alors même que le caractère dangereux est encore évident après un séjour, quelle qu'en soit la durée, en prison", s'est-il exclamé, avec empathie.

Hollande s'en prend au système judiciaire
"Comment admettre qu'après un jugement il n'y ait pas eu (...) une obligation de soins, et une information auprès des élus concernés alors même que sa localisation aurait pu prévenir, ou en tout cas dissuader, le meurtrier?", a enchaîné le chef de l'Etat.

Après trois mois, le Président des bisous parle toujours au futur

Le gouvernement, a-t-il assuré, aura "à coeur de suivre les récidivistes" par un dispositif flou "de contrôle des individus les plus dangereux". Celui-ci s'appliquera aux condamnés "soumis à un contrôle judiciaire", mais aussi à "ceux qui ont achevé leur peine mais doivent encore être surveillés compte tenu de leur caractère dangereux".

Consacré à la sécurité, ce déplacement présidentiel à Pierrefeu-du-Var s'est imposé au président  
"Sous le signe de la sécurité et de la fermeté républicaine", le chef de l'Etat avait dû se rendre au chevet des victimes d'un braquage lors d'une visite impromptue au CHU de Grenoble samedi, à l'occasion de laquelle il avait fait une brève allusion à ce problème.
Sous la pression des circonstances, il avait annoncé en quittant l'hôpital, que Grenoble pourrait rejoindre la liste des zones prioritaires de sécurité, soulignant "l'action résolue" du gouvernement contre les trafics d'armes en France.  Maintenant, c'est également Amiens ...
"Seule fausse note de la journée de mardi", aux dires de l'AFP, Claude Berthaut, le père de l'une des gendarmes tuées, a souligné l'opération de "communicationprésidentielleen  passant dans le Var deux mois après la mort de sa fille,  ironisant sur la "sollicitude" à retardement du gouvernement à l'égard de sa famille."Dans mon esprit, c'est deux mois trop tard, il fallait le faire à Hyères lors de l'hommage national" rendu à sa fille et à sa collègue le 22 juin, a-t-il souligné, pointant "les ambiguïtés" de ce déplacement. "Il y a un petit malaise, je le dirai peut-être au président si mon coeur s'ouvre", a-t-il ajouté.

A sa sortie de la gendarmerie, François Hollande s'est livré de bonne grâce à un petit bain de foule, distribuant autographes, bises, accolades et photos souvenir.
Indécent ? Non, odieux!

9 commentaires:

  1. Bain de foule dites-vous ? Oui mais certainement avec le renfort de militants socialistes, convoqués en urgence pour " faire du monde. "

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  2. Mais les socialistes et les gauchistes n'ont aucun scrupule........et cela depuis l'origine.

    Cette gauche ne cesse d'ensencer la désobeissance et de mettre en cause la police.......Le laxisme est une vertu cardinale des gauchos
    surtout quand la droite est aux affaires.

    les zones de non droit seraient le résultat de la politique de Sarkozy........mais les socialistes n'ont cessés d'insulter Sarkozy et sa politique du tout repressif.......tout y est passé, nazi, faciste, distateur, raciste.....et aujourd'hui ils se font les chantres du respect des lois de la république.
    Et à côté de ça vous avez une sinistre de la justice qui scande que les petites peines ne servent à rien etc.......c'est un encouragemenr à la voyoucratie.........et à la delinquance. Cette sinistre personne parle comme un chef de parti et non comme une ministre de la république.

    L'important c'est d'avoir de bons sondages en enfumant les electeurs........Peu importe les moyens.

    Quant à hollande, osez se faire photographier devant une plaque commérative avec 2 mois de retard, prononcer un discours incompréhensible, prendre dans la foulée un bain de foule, blaguer, rire, signer des otographes, se faire prendre en photos, faire des bisous.......mais ce type n'a aucune dignité.

    Je ne suis pas certaine que ses électeurs aient appréciés le cinéma et la mise en scéne des vacances du president normal......les Français veulent un Président qui se conduisent comme un president. Ils ne veulent pas d'un mec qui s'habille comme un sac, comme un prolétaire avec des auréoles de sueur sous les bras.

    Et apés cela il va faire le cow boy devant les maîtres du monde.......Poutine l'a déjà envoyé se promener......

    La presse comme par exemple l'afp a été bien recompensée de son soutien pendant la campagne hollandaise..........elle continue dans la désinformation.

    On fait dire ce que l'on veut aux mots, on fait passer ce que l'on a envie de faire passer comme message......Les agences de presse font ça trés bien. Elles ne font plus du journalisme c'est à dire de l'information, mais de la politique en désinformant puisque la majorité des journalistes sont de gauche.


    Se laisse manipuler qui veut........

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  3. Bernard Raquin 8/8/2012

    Escroquerie à la normalité
    Sa prétendue « normalité » est de plus en plus insupportable. Il s’agit d’une pose, démentie par les faits.
    Un exemple : son voyage en train à Hyères est hors de prix ; puisqu’au moins un avion militaire survole le train, ainsi que des hélicoptères, et que cela oblige les gendarmes à garder tous les ponts.
    Sans compter les risques immenses qu’il fait courir aux trains qui précèdent le sien, ainsi qu’aux voyageurs de son train.
    Tout le monde comprend bien qu’il est plus facile, pour l’armée en état d’alerte, de garder l’espace aérien, que des centaines de kilomètres de voies ferrées.
    François Hollande veut jouer au citoyen ordinaire.
    Ce qui est impossible pour le chef des armées.
    Car le Président ne s’appartient pas, pas plus qu’un Roi ne s’appartient dans une royauté.
    Représentant d’un pays, il est soumis à des obligations de protocole et de sécurité. On imagine que de nombreux terroristes souhaitent sa mort, non en tant que personne, mais en tant que Président de la République française.
    Je comprends que ce carcan puisse peser à François Hollande, mais il n’a pas d’autre choix que de s’y mouler.

    http://www.lefigaro.fr/politique/2012/08/03/01002-20120803ARTFIG00459-voyage-d-hollande-en-train-les-risques-sont-immenses.php

    Insupportable normalité
    Son plan de communication voudrait le faire passer pour quelqu’un de normal, d’ordinaire, en quelque sorte, le voisin de notre caravane au camping, ou notre beau-frère.
    Mais, justement, un leader ne l’est pas seulement par sa fonction, mais par son attitude…
    Que vous soyez locataire ou chef d’entreprise, on vous demandera de gérer en « bon père de famille ». Cela sous-entend : prudence, respect, compétence, préservation de l’avenir.
    Il n’en est rien. De toute sa vie, Hollande n’a pas démontré une capacité de gérer les finances « en bon père de famille » ; puisque, dès le plus jeune âge, il se vantait d’être payé sans travailler.

    http://www.youtube.com/watch?v=_Z3Hx14QkbY

    Son côté faussement « bonhomme » ne convient pas à une fonction qui demande une certaine hauteur de vue.
    Ses amis l’ont abondamment décrit comme cynique, paresseux, menteur, et non fiable.
    Ce n’est pas l’idée que l’on se fait du voisin que l’on côtoie au camping, ni de son beau-frère. Et encore moins de celui qu’on choisit comme chef.
    Si la gauche reprochait à Nicolas Sarkozy de désacraliser la fonction présidentielle, les mises en scène de Hollande et Trierweiler en vacances, déchaînent l’humour des internautes.
    Le pouvoir, c’est justement une certaine forme de distance. Alors que Hollande confond « proximité » et « identification ».
    Nous pouvons nous sentir proches d’un Jacques Chirac, par exemple, sans nous identifier à lui.
    En étant trop semblable au « Français moyen », et même moins élégant, Hollande court le risque de devenir bouc émissaire de nos blagues, puis de nos rancœurs.
    Sa normalité d’apparat contient un double danger : d’une part, en enlevant la distance, cela enlèvera aussi le respect.
    D’autre part, quand les gens le verront comme un tartufe (affaire des luxueux coussins de Brégançon, partie visible de l’iceberg), sa bonhomie sera assimilée à de la manipulation. D’où, vive colère.

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  4. suite B. Raquin

    5 ans de Dolce Vita ?
    J’ai la sensation, de plus en plus nette, qu’il va tenter de passer cinq ans supplémentaires sans travailler.
    Cela me semble tout à fait impossible. Car en cinq ans, beaucoup de choses se passent. Et ces situations demandent de prendre des décisions.
    Je suis persuadé qu’il n’en a pas la capacité.
    Président de la République française, c’est l’un des métiers les plus difficiles au monde.
    C’est, à mon sens, comparable au président des États-Unis, au directeur général de Peugeot, de Honda, de Total, de Microsoft, ou de Siemens.
    Quand j’ai entendu ce Président et son ministre Montebourg tenir des propos de bistrot à l’encontre de grands industriels, je me suis senti agressé, comme beaucoup de Français qui croient à l’initiative et à la créativité, quel qu’en soit le domaine.
    Si les dirigeants des grands groupes sont extrêmement bien payés, c’est qu’ils possèdent des qualités très rares : capacités de synthèse, qualités de visionnaire, capacités à prendre des décisions ; et surtout, la valeur suprême de l’humanité, si rare : être des meneurs d’hommes.
    Nos chefs sont là pour nous montrer la voie, et non pour entretenir le flou ou reporter les décisions.
    En ce sens, Hollande n’est pas un leader, et il aura bien du mal à rester oisif pendant 5 ans.

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    1. suite B. Raquin

      Hollande est-il déficient ?
      Je pose la question crûment, parce que ses surnoms sur internet le sous-entendent.
      Ses attitudes grotesques, ses comportements ridicules et décalés, ses discours creux et fumeux, sont pour le moins inquiétants.
      Mon hypothèse est que, connaissant les centaines de photos circulant sur internet, il n’avait d’autre choix que de jouer le « normal ».
      Coup double : d’une part, cela sous-entendait que Sarkozy n’était pas « normal ». Et d’autre part, cela couvrait de normalité ses bizarreries.
      Mais si les gens découvrent qu’il est cynique plutôt que déficient, là encore, cela provoquera un fort rejet.
      Combien de temps pourra-t-il tromper l’opinion ?
      Les électeurs naïfs, qui se font illusionner par ces histoires de normalité, ouvriront les yeux. Cela prendra deux ans maximum.
      Ils se sentiront alors manipulés et trahis par quelqu’un qui jouait la simplicité, tout en dissimulant son goût du luxe.
      Et cela déclenchera une onde de choc bien plus grave que celle liée au (réel ou supposé) bling-bling de Sarkozy.

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    2. suite B. Raquin

      Hollande est-il déficient ?
      Je pose la question crûment, parce que ses surnoms sur internet le sous-entendent.
      Ses attitudes grotesques, ses comportements ridicules et décalés, ses discours creux et fumeux, sont pour le moins inquiétants.
      Mon hypothèse est que, connaissant les centaines de photos circulant sur internet, il n’avait d’autre choix que de jouer le « normal ».
      Coup double : d’une part, cela sous-entendait que Sarkozy n’était pas « normal ». Et d’autre part, cela couvrait de normalité ses bizarreries.
      Mais si les gens découvrent qu’il est cynique plutôt que déficient, là encore, cela provoquera un fort rejet.
      Combien de temps pourra-t-il tromper l’opinion ?
      Les électeurs naïfs, qui se font illusionner par ces histoires de normalité, ouvriront les yeux. Cela prendra deux ans maximum.
      Ils se sentiront alors manipulés et trahis par quelqu’un qui jouait la simplicité, tout en dissimulant son goût du luxe.
      Et cela déclenchera une onde de choc bien plus grave que celle liée au (réel ou supposé) bling-bling de Sarkozy.

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  5. Suite B. Raquin 8/8/2012

    Opposant, ou spectateur au café-théâtre ?
    Oui, j’aurais été un opposant à DSK.
    J’aurais été un opposant à Ségolène Royal. Quelle dise quelques bêtises ne me gêne pas outre mesure, puisque tous les politiciens (et tous les humains !) finissent par en dire.
    Mais j’aurais respecté en DSK, ou en Ségolène Royal, le chef de l’État.
    J’aurais été un opposant farouche lorsque des décisions liberticides éliminent des journalistes et des libres-penseurs.
    Alors qu’aujourd’hui, je ne peux même pas me considérer comme un opposant. Car Hollande a adopté la stratégie de l’esquive, tout en chargeant ses équipes de museler la haute administration et la presse.
    En trois mois, à part défaire ce qu’avait fait Nicolas Sarkozy, y compris ce qu’il y avait de plus nécessaire, et augmenter les impôts, François Hollande n’a pris que des mesures liberticides.
    Je ne suis pas Jean Moulin face à Laval. Je suis réduit au rôle de chansonnier face à un comique. Beaucoup de mes concitoyens sont aussi des spectateurs mécontents d’une pièce de café-théâtre.
    S’opposer à de Gaule, ou à Mitterrand ? Oui, il y avait du panache à le faire.

    S’opposer à Hollande ? C’est presque un automatisme.
    Ni lui, ni aucun membre de son gouvernement n’ayant jamais créé d’emploi, et toutes leurs décisions allant à l’encontre du bon sens, nous n’avons d’autre choix que de nous y opposer. Non pas au plan idéologique, mais par réflexe : le même réflexe que nous avons face à un proche « qui fait toujours des bêtises et n’écoute pas les conseils".

    Car Hollande ne parvient visiblement pas à habiter sa fonction, ni à grandir
    intérieurement pour en vivre la stature.
    Nous ne pouvons que lutter, au quotidien, contre ses décisions liberticides, prises au gré de ses humeurs, ou des humeurs de ses équipes (Trierweiler, Pulvar, Hidalgo…)
    Car j’estime, comme tous ses amis socialistes, qu’il est médiocre et incompétent. Je n’attends que de mauvaises choses de lui.
    Et donc, j’attends 2017.

    Avec l’espoir que le bricoleur qui passe ses nuits dans un garage pour inventer un produit qui révolutionnera notre vie, sera considéré comme un héros, et non plus comme un paria. Avec l’espoir que le chef d’entreprise, créateur d’emploi, sera respecté et valorisé.
    Avec l’espoir que la Constitution garantira la liberté d’entreprendre, sans risque de spoliation.

    Hollande ne m’aime pas
    Ce n’est pas personnel. En tant que Français, je ne me sens pas aimé par ce Président et son gouvernement.
    Je n’avais jamais ressenti cela, avec aucun des Présidents précédents.
    Je suis sûr que quand les Français auront compris que François Hollande ne les aime pas, ils ressentiront la même chose.
    Comme à tant de Français, il me fait honte.

    Chaque fois qu’il se déplace en France ou à l’étranger, je suis sûr de lire dans la presse internationale, et sur internet, des commentaires goguenards.

    Moi, j’aime la République, le drapeau français, la Marseillaise. J’aime l’Histoire de France avec tous ses défauts, la culture et l’originalité françaises.
    Mais je n’aime pas quelqu’un qui accepte des drapeaux étrangers dans ses meetings. Je n’aime pas quelqu’un qui met un drapeau hollandais sur sa photo officielle. Je n’aime pas quelqu’un qui refuse de chanter La Marseillaise aux Jeux Olympiques.

    Je n’aime pas quelqu’un qui ne m’aime pas, alors qu’il prétend parler en mon nom.
    Alors non, je n’aime pas Hollande. Et je n’aimerai jamais. "

    J'AI TROUVÉ MON COMPTE AVEC BERNARD RAQUIN
    JE VOUS SOUHAITE LA MÊME CHOSE






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  6. L ' AFP montre encore une fois son parti pris et que nous pouvons complètement nous passer de ce qu'elle radote, elle a perdu toute crédibilité.

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  7. Un autre exemple bien typique de la conception qu'a la Gauche française du journalisme:

    http://www.jeanmarcmorandini.com/article-291301-liberation-decrit-en-detail-un-concert-qui-n-a-pas-eu-lieu.html

    [citation de la première partie de l'article de JMM.com]
    A l'occasion du festival de rock de Saint-Malo, Libération a envoyé un journaliste, Philippe Brochen, pour couvrir les différents concerts et faire des comptes rendus. Mais, selon le site d' Arrêts sur image , le journaliste a fait le compte-rendu d'un concert... qui n'a pas eu lieu !

    Philippe Brochen décrivait dans son papier la prestation du groupe américain "My Best Fiend" qui devait ouvrir la deuxième soirée à Saint-Malo.

    Le paragraphe en question a été effacé du site de Libération avant que le journaliste ne finisse par reconnaître son erreur sur Twitter : "Shame on me. Dans mon "papier" sur next.libe.fr dimanche, j'ai évoqué le groupe My Best Fiend alors que c'était Veronica Falls. Donc pour éviter pareille méprise à l'avenir, je suggère que les groupes méconnus portent sur scène une chasuble avec leur nom", a-t-il écrit sur son compte.
    [fin de la citation du site]

    Le site copiait aussi la description détaillé de la prétendue performance du groupe absent.

    Premièrement, le journaliste grassement payé n'a pas fait son travail avant et après le concert: il n'a pas tenu comtpe des informations anonçant les changements de programme, il n'a pas prêté attention aux annonces sur place, et l'on peut même se demander s'il a vraiment assisté à quoi que ce soit.

    Deuxièmement, voyez sa réaction: d'abord, il ne reconnaît pas avoir commis une grossière erreur (en fait, une série de fautes professionnelles, mentionnées ci-dessus); ensuite, [comme son Président "normal" adoré], il rejette la faute sur les autres, à savoir les victimes de sa faute (le groupe qui s'est produit: "izavéka afficher leur nom!"), en les humiliant (ainsi que le groupe dont il prétend avoir vu la prestation: "il sont tous nuls et inconnus, pas étonnant qu'on les confonde").

    Bref: incompétent et malhonnête; un journaliste français (donc de Gauche), en somme.

    Lorsque l'on voit de telles choses (fautes professionnelles, mauvaise fois, malhonnêteté, remarques insultantes à l'égard des autres) sur un sujet aussi simple (dans sa nature et à traiter), on comprend que ces soi-disant journalistes soient incapables de réaliser l'énormité des mensonges, des contraditions et des insultes que la Gauche leur fait diffuser quotidiennement.

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