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samedi 23 juillet 2011

Libération dénigre le rôle décisif de Sarkozy dans le sauvetage de la Grèce

Le journal de gauche se refuse à saluer l'action déterminante de Nicolas Sarkozy

Une avancée européenne et un nouvel espoir pour la Grèce

Après deux années de crise grecque et un premier plan

158 milliards d’euros, c’est le montant total du deuxième plan d’aide à la Grèce. 109 milliards viendront de l’Europe et du FMI, 49 du privé (banques et compagnies d'assurances: cet appel à leur contribution est une grande première).
« Je suis satisfait de voir les pays de la zone euro réunis car il s’agit d’un problème qui a évolué vers une situation à risques et de nombreuses économies attendent avec inquiétude une solution efficace, » déclare Robert Zoellick président de la Banque Mondiale.

« Je ne dis pas que c’est simple. Il fallait trouver un chemin entre des inconvénients, des précipices, de tous les côtés,»
soulignait Nicolas Sarkozy hier soir, à l’issue du sommet européen.

Mais le quotidien fielleux français biaise

Partagée - comme le PS - dans ses convictions européennes, la presse hexagonale partiale et négative prédisait une incapacité de l'U.E. à s'entendre sur un refinancement de la dette grecque. Avec Angela Merkel, Nicolas Sarkozy a pourtant réussi à mobiliser les états européens et la gauche en campagne en a des aigreurs.

C'est ainsi que le quotidien français Libération occulte en effet, d'une part, la responsabilité des gouvernements socialistes dans les errements grecs et, d'autre part, les mérites de l'action complémentaire des pays européens leaders dirigés par Angela Merkel et Nicolas Sarkozy. Pour des raisons militantes de campagne des primaires du PS qu'il soutient, le quotidien décrie les bénéfices que les chefs d'états en retirent légitimement dans leurs opinions respectives, mais aussi internationale.

Devoir de mémoire
Puisque Libération néglige de rappeler la responsabilité du PASOK, PaSiDupes le supplée.

La Grèce a laissé s'accumuler sa dette publique, mais ses gouvernements socialistes successifs l'ont surtout dissimulée, jusqu'à la banqueroute. Elle obère aujourd'hui les facultés des pays européens à résister à la crise économique et financière internationale et le parti-pris des commentaires du quotien socialiste Libération est donc une nouvelle fois abjecte.
Le bénéficiaire de la solidarité européenne est un pays membre du Parti socialiste européen et de l'Internationale socialiste et donc abandonné à la doctrine et à l'incurie gouvernementales socialistes. Georges Papandréou cumule en effet les fonctions de président du PASOK, mouvement socialiste panhellénique.et de premier ministre.
Aux législatives d'octobre 1981, après une campagne menée par Andréas Papandréou, le père de l'actuel, aux cris de « Changement ! » et « La Grèce aux Grecs ! », le PASOK entra dans l'Histoire pour mener le pays où il est tombé aujourd'hui. Les socialistes se succédèrent presque sans discontinuer: Andréas Papandréou fut premier ministre de 1981 à 1989 et de 1993 à 1996, et son fils Georges occupe le poste depuis octobre 2009, à la suite du socialiste Konstantínos Simítis de 1996 à 2004.

Libération titre " La crise grecque, effet d’aubaine sarkozienne"

Même si l’Elysée s’en défend [a-t-on entendu le Présidence communiquer en effet dans ce sens ?], la séquence financière permet au chef de l’Etat de se replacer dans la course à la présidentielle. [Dans l'adversité économique internationale, il ne l'a pourtant jamais quittée, à en croire sa remontée antérieure dans les sondages.]

Et si la crise grecque était politiquement du pain bénit ["béni", en français des bac +5 ?... Il est vrai que c'est du G.Biseau , chef du service économie de Libération et comédien, ci-contre ! Lien ] pour Nicolas Sarkozy ? [Qu'il puisse retirer une reconnaissance politique pour ses succès internationaux chiffonne l'opposition ! ] Evidemment [?], vous ne trouverez pas un conseiller à l’Elysée pour vous le confier explicitement.
[En contradiction avec ce que Libération écrit plus haut à l'attention de ceux qui ne lisent que les 'chapeaux' des articles, supposés être fidèles à leur contenu...] « Il ne faut surtout pas s’amuser à jouer avec ça. Et vouloir dramatiser une situation déjà très compliquée, assure l’un d’eux [Anonyme, comme d'hab !]. On a un intérêt objectif à ce que la situation économique s’améliore et qu’on engrange les résultats.» [Libération ne dirait pas mieux...]

Certes. [sic] Ceci étant, l’entourage du chef de l’Etat se félicite aussi à haute voix [contradictoire de la pseudo-citation qui précède] de voir son protégé [ne serait-ce pas plutôt l'inverse?] plongé dans une situation internationale qui lui permet, disent-ils [avis non partagé par un certain Grégoire Biseau], d’exprimer au grand jour « ses qualités de pugnacité, de conviction et de leadership » [C'est dit, mais ça irrite d'autant plus que, il n'y a pas photo, les 'protégés' de Libération en sont les négatifs]. « Tant qu’il est dans la gestion des problèmes et de l’action, c’est idéal », assure ainsi un autre conseiller [tout aussi anonyme que les autres]. Et par effet de ricochet, cela permet de renvoyer les candidats à la primaire socialiste, François Hollande et Martine Aubry en tête, à leur statut de simples commentateurs d’une crise sur laquelle ils n’ont pas de prise. [Si seulement le peuple grec avait cantonné leurs homologues au rôle de commentateurs !]

A la manœuvre. Tant pis finalement si Nicolas Sarkozy n’a pas eu vraiment gain de cause auprès d’Angela Merkel. [C'est en tout cas le point de vue 'biseauté' mais très incertain du Grégoire de Libé... ci-contre] Et si Paris a dû se résigner à la solution allemande d’un défaut de paiement partiel de la Grèce, quitte à obtenir des contreparties. [C'est la loi des négociations ordinaires: qu'aurait pensé le journaliste en l'absence de ces contreparties fondatrices d'équilibre financier européen, le FME à venir ?] L’important est que le Président soit sur la photo. [Aussi stupide que réducteur] A la manœuvre. Et sorte, si possible, avec des solutions. Le plumitif s'y serait attardé, si l'honnêteté intellectuelle lui était possible... Il parvient même à énerver un modèle du genre, Philippe Corcuff, maître de conférences altermondialiste de sciences politiques à l'IEP de Lyon et militant du Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA)]

[Hommage indirect ? Et involontaire ?] A l’Elysée, on a parfaitement en tête que la période où le chef de l’Etat a été le moins impopulaire ["le plus populaire" aurait été élégant, mais pourquoi demander l'impossible à un camp cinglé par un écart de six points à la présidentielle?] s’est étalée entre septembre 2008 et septembre 2009. C’est-à-dire en pleine crise économique. Dans la bataille d’image qui se prépare dans l’optique de la présidentielle de 2012, l’entourage de Sarkozy est convaincu de voir dans les nombreux sondages commandés des « éléments très solides qui prouvent que Sarkozy, en période de crise, est toujours jugé très crédible par les Français ». [Fallait-il que cette appréciation soit exprimée par l'Elysée ? Et le journaliste fait-il ici l'aveu de l'incapacité de Libération à l'objectivité ?]

Plus fondamentalement [comique du degré dans l'analyse partisane!], cette crise de l’euro fait les affaires du programme du futur candidat. [En clair, elle ne fait surtout pas les affaires des socialistes de la Rue de Solférino, à dire vrai. Mais la remarque est en outre déplacée à l'égard et de la Grèce mise en faillite par leurs socialistes et des peuples européens solidaires.] « Cette crise est à la fois révélatrice des excès de la finance, mais aussi des échecs de la social-démocratie. Et donc de l’Etat-providence tel qu’il s’est construit dans l’après-guerre », assure un conseiller qui travaille à la rédaction du projet présidentiel. D’ailleurs, à l’Elysée, on a bu du petit-lait à voir [ou plutôt entendre ?] le couple François Hollande-Martine Aubry [le terme de 'couple' est-il vraiment approprié, vu qu'ils se détestent ?] tenir des propos discordants [sic] en matière de rigueur budgétaire, lors de son week-end avignonnais. Comme si ces fausses notes donnaient le la de la campagne à venir. [La campagne socialiste, il va sans dire, mais cela irait mieux en le disant... d'autant que les couacs ne s'arrêtent pas là !]

Frémissement. Depuis presque trois mois, le moral dans les couloirs de l’Elysée s’est nettement amélioré. [Un frémissement de trois mois, est-ce un frémissement ?] A l’époque, les proches conseillers du Président assuraient que « quelque chose était en train de changer dans la perception du chef de l’Etat ». [Des faits tangibles le démontrent et y contribuent, puisque , mais ]
Mais on ne voyait rien venir dans les sondages. Aujourd’hui, force est de reconnaître qu’il y a un début de frémissement. Pas grand-chose, mais quelques points de popularité gagnés, ici ou là. Et pour la première fois depuis longtemps, un sondage (CSA pour BFM-RMC-20 minutes) a donné, le 13 juillet, Sarkozy en tête du premier tour. Devant Aubry ou à égalité avec Hollande.

Le début d’un inversement de tendance ? « C’est trop tôt et trop fragile pour le dire », tempère un conseiller. « En revanche, Sarkozy est en train de retrouver une position dominante dans la droite. Il commence à être en capacité de rassembler. Mais ce n’est encore qu’un début », assure un proche
[comme il se doit anonyme, comme tous les interlocuteurs de Libération, qui ne se laisse pas (r)assurer pour autant, tout en étant décidement très proche lui-même, si on l'en croyait: pas simple !]. Et dans ce contexte, un accord sur la dette grecque ne peut lui faire que du bien…
[Si ça ne fait pas de bien à la Grèce par où ça passe, il est clair qu'Aubry en campagne (femme amoureuse, selon Paris Match) aura besoin d'un proche anonyme, son gel intime préféré. Quant à Flamby 1er, il a exigé qu'on ne l'associe plus aux Tristane Banon et Aurelie Filippetti, alors DSK fera bien en définitive comme il veut avec elles, comme Hollande avec la police judiciaire: passer en force ! Sous les applaudissements des féministes socialistes.
La solidarité européenne à la Grèce a un coût
Libération a choisi de le passer sous silence, pour accabler le gouvernement Fillon en dissimulant ce qui contrinue à ses difficultés.

Les journalistes objectifs de Libération ont tous plus de compétences -pris individuellement- que tous les membres du sommet de la zone euro réunis, les chefs d'Etat et de gouvernement participants le jeudi 21 juillet 2011: Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, Finlande, France, Irlande, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Portugal, rejoints par la Grèce en 2001, par la Slovénie en 2007, par Chypre et Malte en 2008, par la Slovaquie en 2009 et l'Estonie en 2011. Libération persifle face à onze états.

Un avis collectif qui vaut bien celui de Biseau, aubaine de Libération et du festival off d'Avignon,
mais qui, pensez donc, n'impressionne pas Libération:
"La coordination des politiques économiques qui aurait dû, dès l'origine, accompagner le pacte de stabilité s'est renforcée", estiment l'ancien président de la Commission européenne Jacques Delors, et accessoirement père de la Ch'tite Aubry qui pourra toujours mettre son mouchoir par-dessus, l'ancien chef socialiste du gouvernement espagnol Felipe Gonzales, l'ancien président du Conseil italien et de l'exécutif communautaire Romano Prodi (centre gauche), le Belge Etienne Davignon (groupe Bilderberg), ancien vice-président de la Commission, et l'ancien commissaire portugais Antonio Vitorino (PS).

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