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mardi 7 juin 2011

Harcèlement sexuel: plutôt moins en politique qu'ailleurs


Excellente synthèse de Valérie Boyer sur la féminité en milieu politique

Les media ne peuvent-ils maîtriser leur pulsions marchandes ?

Leurs nouveaux amalgames et généralisations sont à nouveau délirants
Les poursuites pour agression sexuelle et viol dont DSK est l'objet accréditent l'idée que les femmes en politique sont les proies des hommes de pouvoir et que les responsables politiques seraient, tous autant qu'ils sont, des saligauds virtuels, voire rééls.
Depuis une semaine qu’elles lisent et entendent certaines de leurs collègues se plaindre de ne pouvoir pénétrer en jupes dans l’hémicycle sans essuyer sifflets ou remarques salaces de leurs alter ego masculins, Valérie Boyer (ci-contre, Bouches-du-Rhône) et Bérengère Poletti (Ardennes), députées UMP n’ont rien abdiqué de leur féminité.

Les députées Valérie Boyer et Bérengère Poletti organisent une discussion à l'Assemblée nationale autour du thème des femmes, du respect au travail et du rapport entre collègues de sexe opposé.
Dans l'Hémicycle, elles sont 117 députées sur 577 élus.

Elles ne nient pas le machisme ambiant. « C’est vrai qu’il y a des mecs qui ne savent pas se tenir », admet B. Poletti. Mais la bonne réponse, dans le temple de la République égalitaire, ne saurait être d’enfiler un pantalon, comme dans certaines banlieues. « Et pourquoi pas un voile sur les cheveux ? s’indigne l’élue des Ardennes. Il vaut bien mieux dénoncer ! »
Le machisme en Iran, où les footballeuses voilent leurs cheveux, leurs jambes et leurs bras sur le terrain ?...
« Si quelqu’un me fait une remarque, je l’envoie péter », assène sans détour l’élue du pays des cagoles.

VOIR et ENTENDRE
le reportage BFMTV du 7 juin 2011, pour l'occasion, dans lequel la députée des Bouches-du-Rhône s'inscrit en faux contre les risques encourus par les femmes dans nos institutions:
Le socialiste Dominique Strauss-Kahn serait un cas pathologique non transposable du Sofitel au Parlement.

Dans une enceinte où le port du pantalon par les femmes n’a pas été toléré avant les années 1980, et où dénuder ses épaules n’est toujours pas admis, s’obliger à porter la jupe pour affirmer qu’on ne craint pas le machisme aurait comme un parfum de régression.
Les féministes archaïques Martine Aubry et Martine Billard ne seraient-elles pas plus épanouies et moins agressives en se féminisant ?

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