POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

mardi 12 octobre 2010

Grève reconductible: de jeunes extrémistes entrent en scène

Les syndicats irresponsables lancent les jeunes mais ne les contrôlent pas
Les anarcho-syndicalistes et syndicalistes révolutionnaires
sont à leur affaire !

Une mobilisation record ternie par les premières échauffourées

Avec le renfort des lycéens appelés à la rescousse, alors que plafonnent les taux de participation aux manifs (lire PaSiDupes), les manifestations ont rassemblé mardi "près de 3,5 millions de personnes", selon les syndicats. La police relève aussi des mobilisations à la hausse, mais ne délire pas...

VOIR et ENTENDRE le journal de 20h00 de TF1:


Signe négatif et inquiétant à l'ouverture d'une grève reconductible

Ici et là des violences ont éclaté en marge de certains défilés contre la réforme des retraites mardi 12 octobre. Un jeune blessé, le bureau d'un maire saccagé...

Ce soir, brushée, Sa Cynique Majesté Royal a poussé les jeunes 'humiliés' (!) à descendre dans la rue, mais les prie de manifester "de manière pacifique" ...

Casseurs lachés sans la rue: pour combien de temps et quelles conséquences ?

A Montélimar, une centaine de personnes qui venaient de manifester ont saccagé le bureau du député-maire UMP de Montélimar.
Vers 17 heures, une partie des manifestants a forcé l'entrée et fait intrusion au premier étage de l'Hôtel de ville, où les excités ont saccagé la salle d'attente, traversé le secrétariat puis mis à sac mon bureau, a raconté le maire Franck Reynier, qui se trouvait à l'Assemblée nationale. Selon les photos que ses services lui ont envoyées, les murs de la salle d'attente "ont été troués à coups de pied", le bureau a été "retourné et cassé" et des tables et chaises "jetées par terre", a poursuivi l'élu. Il compte porter plainte.
Peut-être le député-maire (vice-président du parti radicalvaloisien) sera-t-il accusé de ne pas aimer la jeunesse, puisque le PS les convainc qu'ils sont 'méprisés' !

A Caen, des manifestants et les forces de l'ordre ont échangé pendant une heure bombes lacrymogènes et projectiles divers devant le siège du MEDEF de cette ville PS. Lors d'un tir de bombe lacrymogène, un jeune s'est effondré. Il a ensuite été évacué, conscient, un bandage et du sang sur la tête dans un véhicule de la CGT. Lorsqu'un cortège de lycéens et d'étudiants est venu rejoindre le rassemblement des manifestants devant le Medef et qu'un CRS venait de recevoir un pétard sur son casque, les forces de l'ordre ont commencé à envoyer des gaz lacrymogènes. En réponse, des jeunes qui jetaient jusqu'alors surtout des oeufs et des tomates se sont mis à lancer des projectiles divers sur les forces de l'ordre et à faire brûler des conteneurs à poubelle et des buissons, certains foyers atteignant plusieurs mètres de diamètre. Selon la préfecture, un jeune de 25 ans qui avait lancé une bouteille en verre sur les forces de l'ordre a été interpellé.


Des heurts ont aussi éclaté


A Vesoul (maire actuel secrétaire d'Etat), un exemple de radicalisation montée en épingle: grotesque
VOIR et ENTENDRE, pour faire la part des choses:

à Chateauroux (ex-PS, depuis 2008, UMP)
et Issoudun (PS)

Mais des échauffourées ont pu être plus préoccupantes


A Saint-Nazaire (PS)
Place de l’Amérique-Latine, un groupe de 200 personnes a pris le chemin de la sous-préfecture, où des projectiles enflammés ont été lancés en direction du bâtiment symbole de l'autorité de l’État. Une charge des forces de l’ordre avec jets de lacrymogènes a repoussé le groupe vers le centre commercial Ruban bleu. Peu avant 19 h, après deux heures d'affrontement, la queue de manifestation était dispersée.

A Paris
(PS), le trafic a par ailleurs été interrompu pendant trois quarts d'heure sur le RER C, après que quelques éléments incontrôlés, revenant "probablement" de la manifestation sur les retraites, ont commis des dégradations et sont descendues sur les voies.
Des actions violentes sont à déplorer aussi Place de la Bastille.

Parents, rentrés vos enfants, si 'responsables' soient-ils !
Les syndicats ne se sentent pas - eux - responsables: les jeunes sont donc livrés à eux-mêmes et exposés aux phénomènes de foule.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):