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mardi 9 mars 2010

Frêche: «Les pauvres en France, c'est des favorisés par rapport à la moitié de l'humanité»?

C'est le jugement d'un socialiste: le baron du Languedoc-Roussillon

Et les défavorisés prolongeraient Frêche à la présidence de région ?

De passage, clopin-clopant, dans les locaux de 20minutes.fr, le président sortant de la région Languedoc-Roussillon s'est prêté au jeu des questions-réponses avec des internautes. Et au cours d'une de ses digressions, le candidat banni du PS pour antisémitisme, racisme et xénophobie, qui font sa gloire dans la région, a livré son sentiment sur la pauvreté en France.

VOIR et ENTENDRE l'entretien de Georges Frêche


Depuis peu, Frêche n'est plus reconnu socialiste par ses pairs
Comparant la France administrée par la droite à la situation en Chine, en Inde, ou encore dans le nord-est brésilien, l'ancien socialiste s'est livré à une analyse comparative percutante qui envoie les syndicats dans les filets: «Les pauvres en France, c'est des favorisés par rapport à la moitié de l'humanité».
Une réalité que les geignards privilégiés omettent, lorsqu'ils défilent, font grève ou menacent de quitter ce pays « de merde » pour aller planquer leur pognon en Suisse ou en Patagonie: dans ces pays, ils n'ont ni RMI ni RSA. Du coup, «les pauvres sont pauvres, ils sont misérables».
En France, ils sont pauvres des richesses qu'ils pourraient avoir, ou pauvres de l'Eldorado qu'ils n'y ont pas trouvé, venant du Sahel ou du Proche Orient, que les frères arabes, bons musulmans et producteurs de pétrole n'ont ni aidés, ni recueillis.

Le secret de la victoire socialiste se trouve dans la bière, le baby-foot et le populisme

Le paria socialiste fournit les clés de la manipulation réussie du peuple...
L'odieux candidat à la faconde ravageuse est candidat à sa propre succession malgré ses fautes rhédibitoires. Il donne maintenant ses secrets pour se faire aimer du peuple, en glissant au passage ce qu'il pense de sa 'challengeuse' aux régionales, fabriquée par Aubry, la maire PS de Montpellier, Hélène Mandroux, qu'il a lui-même sortie du nombre, mais aussi de Martine Aubry.

Au passage: des portraits au vitriol
A titre d'exemple, la Ch'tite Aubry est "souple comme un verre de lampe".

En bonus: les favoris du baron socialiste pour la présidentielle 2012.

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