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LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

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mardi 13 mai 2008

L’amère Royal confond ‘débat participatif’ et procédure judiciaire

La magistrate Royal limite le débat politique aux tribunaux

Avec elle, les 35 h., ce n'est pas pour les tribunaux !

L’hystérie procédurière l’a gagnée depuis longtemps mais ne la quitte plus : c’est une possédée ! Elle a la parano de la diffamation, mais la science semble impuissante à la soulager : elle se tourne vers la justice comme d’autres vers le rebouteux. 'Lire PaSiDupes: Paris Match ou délinquance sociale)
Elle n'accepte que les louanges: dur, dur, avec la meilleure volonté ! Dans la même semaine, elle s'est attaquée à la liberté d'expression et a annoncé une plainte de l'ex-candidate PS à l'Elysée contre Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre UMP (PaSiDupes, libellés 'Raffarin' ou 'délinquance sociale'. Ensuite, elle s’en est prise à la sacro-sainte liberté de la presse en poursuivant Paris Match devant les tribunaux. (Lire PaSiDupes, libellés 'Paris Match' ou (prières') Coup sur coup !

L'un des trois porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, a observé vendredi que Désirdavenir Royal limite le débat politique aux procédures judiciaires. "Il est regrettable que Mme Royal considère que le débat politique, au lieu de se nourrir d'arguments et d'idées, se limite à des procédures judiciaires", déclare le député des Hauts-de-Seine.
"Que Jean-Pierre Raffarin, tirant les conséquences de la condamnation de Mme Royal qui n'est autre que son adversaire en Poitou-Charentes, demande sa démission, quoi de plus normal ?", poursuit le porte-parole. "A moins que la conception du débat démocratique de Mme Royal ne soit: j'attaque, mais on n'a pas le droit de m'attaquer", regrette-t-il.

L'avocat de Sa Sereine Majesté Royal, l’ami et parrain Jean-Pierre Mignard, a annoncé jeudi le dépôt d'une plainte en diffamation contre Jean-Pierre Raffarin, qui avait qualifié de "délinquance sociale" après la condamnation de la présidente de Poitou-Charentes. Le 10 avril, la cour d'appel de Rennes a en effet rendu justice à deux de ses ex-attachées parlementaires à qui, depuis plus de dix ans, la présidente anti-sociale mais pourtant socialiste de Poitou-Charentes refuse de payer leurs salaires.

Désirdavenir avait annoncé dans son sillage l’avènement de la ‘république du respect’ dans une ‘France juste’…
C’était une des promesses de campagne de Sa Cynique Majesté Royal. Mais qu’a-t-elle fait aussi ce celle d’être une opposante constructive ?

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