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mercredi 26 septembre 2007

L’insulte, arme des impuissants du PS, tel Benoit Hamon

Agoravox constate que ‘Le PS a l’insulte mythique’
Mais c’est encore beaucoup dire et glorifier l’insulte qui est au Parti Socialiste français ce qu’est le Viagra dans les bordels. Sa Cynique Majesté Royal nous promettait la ‘république du respect’ ; nous avons échappé à Royal mais elle a suscité la ‘république de l’insulte’. Qu’il est beau le projet municipal socialiste : des camps d'internement pour les petits et des camps de redressement pour les bossus ?
Les socialistes ont un problème constitutif que Frèche ou Hamon extériorisent pour apaiser leur tourment, leur souffrance personnelle et intime. Mais ils ne sont pas les seuls et Agoravox met le doigt sur la plaie béante du PS, en tentant de dresser son palmarès récent (extraits):
« (…)Le Parti socialiste estime que le président Nicolas Sarkozy est victime d’un complexe lié à sa taille. (…)
Nous avions eu droit en 2002 à la description par Lionel Jospin d’un Chirac "vieilli, fatigué, usé", dont le principal résultat fut de l’évincer définitivement de la course à la présidentielle, en y qualifiant Jean-Marie Le Pen. Nous avons essuyé en 2007 des remarques incessantes portant à la fois sur le
psychisme prétendu défaillant de Sarkozy (Marianne), sur les intimidations (selon Bayrou) - toujours improuvées - dont il se serait rendu capable, sur le chaos qu’annoncerait sa victoire. Quels effets ont eu ces attaques, plus odieuses les unes que les autres ? Seulement de conforter Nicolas Sarkozy, et de discréditer ses adversaires. Qui aujourd’hui récidivent, par la bouche de Benoît Hamon.
Car c’est plus fort qu’eux, cette haine de Sarkozy qui les habite, cette impuissance enfouie au fond d’eux qu’ils ressentent toujours plus palpable après chaque victoire, électorale ou médiatique, de Nicolas Sarkozy. Alors ils dérapent. La violence étant l’arme des impuissants, selon l’adage bien connu, ils tentent désespérément de sublimer leur impossible répartie sous l’apparat flasque de l’insulte facile.
Le "syndrôme du petit homme" est plus connu sous l’appellation de complexe de Napoléon"
complexe de Napoléon". C’est une théorie développée en son temps par Alfred Adler qui voudrait que les hommes de (plus) petite taille nourrissent un complexe d’infériorité les conduisant à une agressivité plus grande dans leurs comportements au quotidien.
Malheureusement pour Benoît Hamon, il a été prouvé, expérience à l’appui
expérience à l’appui, que ce complexe était en fait un mythe, tout autant que la bêtise des blondes, l’existence de l’Atlantide ou la verdeur [ ?] des Martiens. Il s’agit donc d’une discrimination gratuite basée sur le physique, au même titre que la couleur de la peau, l’âge, le sexe ou l’ethnie. [Que sont-elles donc devenues ces associations qui font commerce de ces sujets chargés d’émotion, de compassion ?] Les années passent, les éléphants succombent, et pourtant rien ne change au PS : si l’insulte y reste facile - y compris au sein même du parti - la crédibilité des arguments demeure aussi évanescente qu’une molécule de H2O en plein Sahara à la mi-journée. Welcome in Socialist land. »
Il faut bien observer que l’indignation quasi générale soulevée par la discrimination sur le physique par Benoît Hamon suffit à discréditer le prétendant à la direction du PS et le PS qui l’a fabriqué et que par conséquent il symbolise. D’habitude si prompt à condamner le Président Sarkozy, François Hollande se montre bien moins réactif sur l’épine Hamon ! Mais à l’heure des comptes où le PS occulte maintenant le problème des nombreux roquets socialistes qu’il a nourris au Bureau national ( !) et dressé à mordre sans qu’ils trouvent de meilleur sujet de réflexion à leur mesure que la taille du président, il convient de rappeler que feu Mitterrand culminait à 1,70 m. L’effort de réflexion leur coûte-t-il tant qu’ils préfèrent la facilité de la haine ? Les ‘perdants-perdants’ sont atteints jusqu’au tréfonds et ne parviennent pas à se hisser à la cheville du président élu. Ils nous font une fixation sur ses mollets qu’ils rêvent de mordre à belles dents de roquets. Incapables d’élévation, ils s’abaissent et se vautrent dans la bassesse. Nous avons déjà publié quelques illustrations de la hauteur morale des détracteurs anonymes. Illustration:


micro sarko clipo envoyé par filehip

Des xénophobes ont reproché à Sarközy ses origines hongroises ; il a été diabolisé par le vertueux magazine Marianne et par Le Canard Enchaîné, et bien d’autres, tout aussi déchaînés.
Voici un exemple de bassesse qui n'épargne personne à gauche, ici sur Canal+ qui a pignon sur rue mal famée. Attention, 'humour'!
VOIR et ENTENDRE:


Il est de bon ton de considérer cette émission insolente à souhait et tellement hilarante, voire décapante : c’est la preuve que, dans ce pays, la liberté de la presse est respectée quand la presse ne se respecte plus. Il faut préserver cet espace de liberté, nous assure-t-on. Liberté de tout dire et faire : d’humilier la femme dans la pub, de proférer des grossièretés gratuites et de montrer des attitudes veules et provocatrices, et aussi de brûler Mama Galledou pour passer à la télé. Les faibles d’esprit sont partout et d’abord dans les médias, mais l’INRA n’est pas épargné avec Bitoun, et pas moins que le CNRS qui compte des intellectuels (si !), signataires du ‘pacte présidentiel’ Royal. Ont-il pétitionné pour purger le PS de cet âne bâté de Hamon ?
Des équipes de campagne de candidat(e) à la présidence ont installé l’insulte dans les médias, sans que ces médias ne crient au viol de leurs belles consciences. La campagne terminée et les battus humiliés, Benoît Hamon continue dans ce registre infâme, par pure méchanceté, naturelle et stérile.
Le ton accommodant de la résignation coupable vient de loin -et de haut-, mais explique tout, les compromissions et les avantages: "Je ne me plains pas de la presse, soit que je me sois habitué, soit que je me sois résigné." François Mitterrand (qui y trouvait son compte?...)

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