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vendredi 6 juillet 2007

Fabius et DSK en ont assez des caquetages du PS

Sarkozy les consulte pour un soutien à la présidence du FMI
Le dialogue est possible...
L'ancien Premier ministre socialiste Laurent Fabius a été reçu près d'une heure par le président Nicolas Sarkozy, officiellement pour parler des résultats du Conseil européen des 21 et 22 juin. En 2005, Laurent Fabius avait fait campagne pour le "non" au projet de Constitution européenne dont le traité "simplifié" sur lequel les 27 se sont mis d'accord au sommet de Bruxelles reprend pour l'essentiel le volet institutionnel.
Le nom de Laurent Fabius, qui a décidé de démissionner du bureau national du PS, est cité parmi les candidats potentiels de la France pour le poste de directeur général du Fonds monétaire international (FMI) avec celui d'un autre ancien ministre socialiste, Dominique Strauss-Kahn. Le porte-parole de la présidence de la République, David Martinon, a refusé vendredi matin de dire si la candidature de l'un de ces deux figures de l'actuelle opposition parlementaire aurait le soutien de Nicolas Sarkozy. "Ce sont deux hommes de qualité. Le président répondra à cette question dans les jours qui viennent", a-t-il seulement déclaré, lors d'un point de presse.
Laurent Fabius, raccompagné sur le perron de l'Elysée par le chef de l'Etat, a pour sa part quitté le palais présidentiel sans faire la moindre déclaration.

Quelques instants auparavant, Bernard Kouchner, ministre d'"ouverture" venu du PS, avait répondu par une pirouette, à son arrivée à l'Elysée pour une réunion avec le Premier ministre François Fillon et ses collègues de la Défense et de l'Economie, à des journalistes qui lui demandaient s'il soutiendrait la candidature de Laurent Fabius. "Je soutiens. Mais je croyais que c'était Dominique Strauss-Kahn? Alors dès que je tourne le dos, on en sort un autre !" a plaisanté le ministre des Affaires étrangères.

1 commentaire:

  1. LE CANARD DU NET Samedi 7 Juillet 2007 : QUAND LE PRESIDENT SARKOZY « DEBAUCHE » LES MEMBRES DU PS POUR «N' EMBAUCHER » QUE LES MEILLEURS . ( par Gold31 )

    NE NOUS Y TROMPONS PAS : « DOMINIQUE STRAUSS KHAN N'EST NI UN MONTEBOURG ... NI UN FLEAU ROYAL »

    Pressentir un DSK pour postuler à la présidence du FMI , ne relève pas de la part de Nicolas Sarkozy de l'ordre du simple débauchage d'un membre supplémentaire du PS , comme voudrait le faire croire une certaine presse pour le moins désorientée , et à juste titre inquiète .

    A préférer la posture « Royal » au mérite , à privilégier le « jeunisme » de façade à l'intelligence ou à l'expérience politique , le PS dirigé par François Hollande en avait presque oublié qu'il y avait parmi ses membres quelques perles rares ...que les jeunes loups plutôt encouragés , se devaient de fouler du pied .

    Rappel des titres :



    DSK étudie à HEC et à l'Institut d'études politiques de Paris. Il est licencié en droit public, docteur ès-sciences économiques et professeur agrégé de sciences économiques. Il devient professeur d'économie à l'Université de Nancy 2 (1977-1980) puis à l'université de Nanterre (à partir de 1981) et à l'École nationale d'administration ( ENA ). Après un passage comme professeur à HEC, il enseigne ensuite la microéconomie et la macroéconomie à l'IEP de Paris.

    Appelé enfin à enseigner dans une Université Américaine , il sera désigné par le Herald Tribune comme étant l'économiste le plus éminent de son époque .

    Alors...débauchage ? Ou reconnaissance de l'excellence ?

    A ce niveau de compétences , il n'y a plus d'adversaires politiques .

    Nous assistons à la conjugaison apolitique du verbe « réussir » , pour la France , voulue par des hommes à l'évidence hors du commun .

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