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lundi 22 janvier 2018

Est parisien, théâtre d'affrontements entre bandes d'ados

Ces 'ados' sont des jeunes issus de l'immigration

La préfecture de police recense 16  bandes, rien que dans Paris. 

Ismaël, 15 ans, est mort dans une rixe entre bandes d'adolescents,
place Léon-Blum, juste en face de la mairie du XIeme arrondissement de Paris
Ces groupes de jeunes, entre 13 et 17 ans, s’affrontent régulièrement dans la capitale, principalement dans l’Est de Paris, où les mairies accueillent les familles immigrées. 
Paris XIe : Patrick Bloche, puis François Vauglin, PS
Paris XIIe : Michèle Blumenthal, puis Catherine Baratti-Elbaz, PS
Paris XIIIe : Serge Blisko, puis Jérôme Coumet, PS
Paris XIVe : Pascal Cherki, puis Carine Petit, PS
Paris XIXe : Roger Madec, puis François Dagnaud,PS
Paris XXe : Michel Charzat, puis Frédérique Calandra, PS.
Chacun des premiers nommés est connu pour sa radicalité, son communautarisme et son multiculturalisme idéologiques. Tous font l'objet d'un libellé dans ce blog.

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Samedi 13 janvier, rue de la Roquette (XIe), le nom d’Hismaël, jeune rappeur ivoirien Diabley Ismael Junior (HISMO) qui "a perdu la vie" (Le Parisien), assassiné à l'âge de 15 ans, est venu, s'ajouter à la liste des "sauvageons" trop souvent victimes de rixes entre bandes rivales, qui sévissent dans la capitale. Alors qu’un groupe de jeunes du quartier tournait un clip de rap, une vingtaine d’ados de la bande de Riquet, quartier difficile du XIXeme, seraient venus les provoquer, rapporte Le Parisien. 

Les enquêteurs arrêtent sur les lieux deux jeunes de 14 et 15 ans, qui sont immédiatement placés en garde à vue. D’autres auraient également été interpellés.
Au nom de cette rue est associée une prison construite en 1830 pour des jeunes détenus sur la partie nord de la rue, puis une seconde prison, nommée 'Dépôt de condamnés', qui recevra surtout les futurs bagnards et les condamnés à mort. Soixante-neuf personnes seront guillotinées devant la porte de la Grande Roquette. Cet endroit, appelé "place de la Roquette", fut fermé et détruit en 1900. La Petite Roquette fut, quant à elle, une prison pour femmes de 1920 à sa fermeture en 1974.
En 2017, trois jeunes ont été tués dans ces guerres de territoires dont plus personne ne sait au juste ce qui les motive. 109 autres adolescents ont été blessés. Ainsi, le 22 septembre 2017, c'est un jeune adulte de 18 ans qui avait déjà trouvé la mort au cours d'une rixe entre bandes du nord de Paris, abattu d'une balle dans l'abdomen dans le XIXe arrondissement. Les deux députés élus dans ces circonscriptions sont : Danièle Obono, franco-gabonaise de 37 ans et polémiste nationale de 'La France insoumise', et Delphine O, normalienne de 33 ans et haut fonctionnaire sans expérience du terrain   - sœur de Cédric O, trésorier de campagne d'Emmanuel Macron et administrateur du mouvement La République en marche !, actuellement conseiller conjoint au président de la République et au Premier ministre -, suppléante du secrétaire d'État au Numérique dans le gouvernement d'Edouard Philippe, Mounir Mahjoubi, LREM.

C’est l’Est parisien qui est le plus agité par ces rivalités de quartiers, que n'importe quel prétexte suffit à ranimer et qui se soldent par des batailles rangées à coups de barre de fer ou de battes de base-ball. Parfois au couteau. Et laissent toujours effarés et inquiets les familles des quartiers populaires qui forment la clientèle du Parti socialiste.
Le square de la Roquette, épicentre des combats de rues.Ces derniers mois, la mairie socialo-bobo du XIe a reçu plusieurs pétitions et plaintes de riverains. Depuis des décennies et bien avant le décès d'Hismaël poignardé rue de la Roquette, le 13 janvier dernier, le square de la Roquette (XIe) était bien connu pour des bagarres incessantes et qu'il ait été dans le collimateur à la fois de la justice, la police et la mairie du XIe n'y a rien changé.
En mairie, suite à plusieurs pétitions et plaintes de riverains, on palabre. Une réunion a été organisée le 15 décembre qui a abouti au CENOMED (Cellules d'Echanges d'informations NOminatives Mineurs) et à la mise en place de mesures, avec autour de la table le parquet, police, rectorat, services sociaux. "Ces très jeunes, 10-15 ans, sont très mobiles, nerveux, constate François Vauglin, le maire (PS) impuissant du XIe. Ils font du bruit, stagnent assis sur les murets à côté de la crèche". Et surtout, en plus grave, il y a eu des arrachages de colliers de vieilles dames, des vols de portables, des agressions, du deal, des projectiles lancés des fenêtres sur les policiers, une trottinette sur le pare-brise d’une voiture.
       
Désormais, ce sont des adolescents, entre 13 et 17 ans, qui tiennent le pavé : les "anciens" belligérants, qui réglaient leurs comptes au Forum des Halles (Ier) ou à la gare du Nord (Xe) voici quelques années sont ringardisés et dépassés. Dans la rue, "c’étaient les grands frères qui faisaient la loi. Les parents n’avaient pas les codes de la rue. Ma mère parlait à peine le français", raconte un Turc de 27 ans qui a grandi dans le XVIIIe.

Avec l’émergence notable, très récemment, des 14-15 ans, dont les parents semblent absents. Des "gamins" [!] qui prennent le relais de leurs prédécesseurs, passés à autre chose en grandissant, et perpétuent une animosité dont l’origine s’est perdue au fil des années. L’action conjuguée de la préfecture de police et du parquet de Paris aurait permis de neutraliser certaines bandes. Mais s'il s'en recrée d'autres, n'est-ce pas...

La politique de prévention serait-elle en échec ?
La cellule de suivi du plan bandes (CSPB) et ses huit enquêteurs qui observent comme ils peuvent les quartiers de Paris et ceux des trois départements de petite couronne (92, 93 et 94), placés sous l’autorité du préfet de police, Michel Delpuech, recensent 16 bandes aujourd’hui actives dans la capitale. Elles seraient une quarantaine au total, en région parisienne.

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