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samedi 26 août 2017

Islamisation de l'école: le "J'accuse" d'un principal de collège

Un "hussard noir" met la notion républicaine de laïcité en procès

Principal de collège ou imam de la République ? s'interroge Bernard Ravet

Il a été principal dans trois des collèges les plus difficiles de Marseille. Il raconte la guerre de positions que mène l'islamisme au sein de nombre d'établissements publics. 

Voici le "J'accuse" d'un hussard de la République.
"Il y a urgence. C'est pourquoi j'écris ce livre. Pour dire un fragile espoir. Pour ne pas laisser les prophètes de l'Apocalypse nous convaincre, collectivement, que tout est fichu, que l'obscurantisme l'a emporté."


En dehors de l'école, "un surveillant diffusait des ouvrages prônant la charia", témoigne B. Ravet

Un témoignage accablant sur la montée de l'islam, parfois dans sa version intégriste, auprès d'élèves mineurs de collège, au début des années 2000.
Invité d'Europe 1 vendredi 25 août, cet enseignant désormais à la retraite raconte avoir appris un jour que son "meilleur surveillant", écrit-il dans son livre, "joue le prédicateur auprès des élèves". "Il diffuse des petits ouvrages, en dehors de l'établissement, qui prônent la charia", révèle-t-il.

"C'est normal de couper la main d'un voleur"
"D'un seul coup, poursuit-il, nos logiciels tombent; on ne sait plus faire, on ne comprend plus. Et les profs sont complètement désarçonnés quand un jeune garçon répond à une prof, 'c'est normal de couper la main d'un voleur'."

Il raconte son désarroi : "On est en 2004 et on s'aperçoit qu'on est en face d'une réalité qui est en train de monter, mais on ne sait pas faire parce que depuis 1905, l'école ne prend pas forcément le religieux comme quelque chose à quoi elle doit s'opposer," estime-t-il. 
Et lorsqu'il se tourne vers le rectorat, ce dernier "ne répond pas", dénonce-t-il.

VOIR et ENTENDRE l'enseignant vigilant sonner l'alerte sur Europe 1 face l'islamisation souterraine de l'école en France :

Bernard Ravet livre un témoignage accablant sur la lâcheté de l'Education nationale, à son comble avec François Hollande et sa ministre Najat Vallaud-Belkacem, l'électoralisme des politiques et le silence des syndicats, diffuseurs de la pensée unique et dominante.
Lâcheté et silence ou complicité ?

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