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lundi 30 mars 2015

Et la gauche pourrait ne remporter aucun département

Et si le nombre de présidents élus était "moins bon que si c'était pire" !...

66 départements à la droite, 33 à gauche,

  
le Vaucluse échapperait au FN  et  la Lozère au PS 
Dimanche soir, on annonçait le basculement de la Lozère, seul département de France a faire le chemin inverse des autres, de la droite vers la gauche. Mais le PS a peut-être acheté la peau de la Lozère avant de l'avoir attrapée: ce département pourrait finalement rester à droite après avoir été donné un peu vite pour vendu à la gauche: un attrape-nigaud dont se serait passée la gauche comme cerise sur le gâteau de ces départementales calamiteuses. "C'est historique ! Cela ne s'était jamais produit, mais ce n'est pas le fruit du hasard. C'est le fruit de 35 ans de travail de la gauche, de nous et de nos prédécesseurs", avait conclu, mais un peu vite, le sénateur et maire DVG de Mende, Alain Bertrand, depuis la préfecture du département.
Or, la victoire annoncée des socialistes et de leurs alliés n'est pas acquise.
Au bout de la nuit, le sénateur maire socialiste de Mende, Alain Bertand, faisait ce constat désabusé: "La droite a perdu le département; nous ne l'avons pas encore gagné". 
Elle reste pourtant incertaine jusqu'à jeudi matin, voire remise en question lors de l'élection du président du Conseil départemental.


 La droite et la gauche ont obtenu six victoires chacune. 

Suite au redécoupage électoral, la Lozère est composée de 13 cantons. Dans le 13e, celui de Chirac, le député UMP, l'avocat Pierre Morel-A-L'Huisser et Michèle Castan ont été battus par un binôme composé de Henri Boyer (maire de Chirac) et sa colistière Sophie Malige. Deux candidats sans étiquette qui, pour avoir battu un binôme de droite, ont rapidement été placés dans le camp de gauche. Peut-être avec précipitation.
Henri Boyer a en effet prévenu ce lundi 30 mars qu'il n'a pas encore pris sa décision sur le nom du candidat qu'il soutiendra pour la présidence du Conseil général. "Je me déterminerai quand ils [les élus de gauche] se seront mis d'accord. Pour l'heure, je ne sais pas vers qui je me rallierai. Le président Pourquier m'a appelé. On va voir", déclare-t-il.

Le président Jean-Paul Pourquier, c'est le président UMP sortant du Conseil général. Et qui pourrait conserver la présidence si le maire de Chirac donnait un coup de main à la droite.



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