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dimanche 30 juin 2013

"Aurélie Filippetti a une approche dogmatique de la Culture," déplore Frédéric Mitterrand

Bilan de l'ancien ministre de la Culture, à un an


Frédéric Mitterrand pointe les changements des grands directeurs d'administration 
La vaniteuse affiche sa bêtise triomphante
dès la passation de pouvoirs
et le "déni démocratique" des socialistes du gouvernement, dans un entretien accordé au Figaro. 

Un an après l'arrivée de sa remplaçante, l'ancien ministre de la Culture déclare:
"J'étais impartial, ce n'est plus le cas rue de Valois." Frédéric Mitterrand réagit ainsi aux dernières nominations de la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti: les engagements du candidat Hollande ne s'appliquent pas au président; comment les ministres se sentiraient-ils engagés ? 

Principal sujet de mécontentement, les remplacements "systématiques" des grands directeurs d'administration. 

"Trop c'est trop", explique Frédéric Mitterrand dans les colonnes du quotidien de droite. "Ce n'est plus la lutte des classes, c'est de la féodalité", que perçoitobserve l'ancien ministre de la Culture dans ces "débarquements". 

Au pouvoir, des "technocrates dogmatiques"


Et de pointer du doigt le "déni démocratique" dans lequels sont les socialistes qui "décident de manière arbitraire", et plus généralement des "technocrates dogmatiques" du gouvernement actuel. Pour lui, le problème est du côté du président François Hollande qui "ne s'intéresse pas à la Culture [car] ce n'est pas dans son ADN". 

Le prédécesseur d'Aurélie Filippetti a fait le deuil de la Maison de l'Histoire de France, "un projet politique [voulu par Nicolas Sarkozy] et j'ai compris, sans l'accepter" sa dissolution. "Mais le Centre national de la musique sur lequel il y avait un large consensus? Je ne comprends, ni n'accepte, ce geste." 

Au sujet de la Hadopi, il estime enfin dans cet entretien que "le volet pédagogique a fonctionné" et souligne la nécessité d'une instance de régulation. 

Quant à Nicolas Sarkozy, Frédéric Mitterrand ne l'a revu "qu'une fois" depuis mai 2012. "C'était très violent d'être ministre", précise-t-il. 

1 commentaire:

  1. Mais quelle gourde insipide cette nana... c'est pas de la Culture Mme Filipetti les concours de quéquettes ! C'est de la crétinerie à l'état naturel, ou alors juste de la culture socialiste ?
    Faites pipi sur l'herbe pour prendre vos marques vous n'en ressortirez pas grandie et vos prédécesseurs et successeurs se marrent à la simple évocation de votre nom...
    Triste pour un pays qui a rayonné dans le monde pendant des siècles...

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