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lundi 24 septembre 2012

Fusillades en Ile-de-France: Valls va-t-il la stigmatiser comme Marseille ?

Zones de non-droit: des bandes font régner la terreur en milieu défavorisé

Trois fusillades en deux jours

La première, samedi 22 septembre vers 23 h 40 à Paris XIe (dont le maire est Patrick Bloche, PS), rue Louis Bonnet, dans le quartier de Belleville dans l'Est parisien, a fait deux blessés par balles; 


la deuxième, le lendemain à une dizaine de kilomètres de là, peu après 22 heures,à Bobigny (PCF, Seine-Saint-Denis), cité de l'Abreuvoir, a atteint cinq jeunes hommes âgés de 18 à 26 ans ; 
la troisième à Tremblay (PCF, Seine-Saint-Denis), rue Yves-Farges, dimanche à 23 h 10, aurait pu coûter la vie à un jeune de 19 ans pris pour cible par plusieurs individus circulant en voiture.


Si ces trois affaires criminelles n'ont rien à voir entre elles, les modes opératoires se ressemblent, les mobiles sont très probablement identiques et les municipalités sont socialo-communistes.

Bobigny : cinq jeunes hommes blessés lors d'une fusillade 


Des affrontements entre bandes rivales ont fait cinq blessés dimanche soir par arme à feu à Bobigny, en Seine-Saint-Denis. Deux des blessés sont "plus gravement atteints" que les autres, mais leur pronostic vital n'est pas engagé. Une source préfectorale a précisé que les faits ont eu lieu un peu après 23 heures abords des rues de Lille et de Varsovie. Cette affaire intervient au lendemain d'une fusillade qui a fait deux blessés graves dans le quartier de Belleville à Paris, dans ce qui semble être un règlement de compte entre malfrats.

A Bobigny, les cinq voyous blessés (âgés de 18, 19 et 25 ans) sont connus des services de police pour des violences et des trafics de drogue. 


Paris : fusillade à Belleville, deux personnes toujours en fuite 


Une autre fusillade a eu lieu la veille et a fait deux blessés graves dans le quartier de Belleville à Paris, dans ce qui semble être
un règlement de comptes entre malfrats. Les jours des deux victimes, âgées de 25 et 28 ans blessées dans le XIème arrondissement ne sont pas en danger. 

Les deux dealers, connus également des services de police, ont été agressés par deux personnes casquées, dont l'une a ouvert le feu, avant de prendre la fuite sur un deux-roues, selon les premiers éléments de l'enquête. 

Heureusement qu'aucune voiture de police ne s'est trouvée sur leur trajectoire: les forces de police  auraient été accusées de violences ! La fusillade s'est déroulée en plein jour, à la mi-journée, à l'heure des promenades familiales dominicales.

Aucun des deux jeunes hommes "n'est plus en danger, l'un d'entre eux a une incapacité totale de travail de 7 jours, l'autre de 45 jours", a expliqué une source policière. Elle ouvre le droit à des indemnités versées par l'assurance maladie de la Sécurité Sociale française.

Les tirs provenaient d'un pistolet automatique ou mitrailleur

Les deux jeunes hommes de 25 et 28 ans, déjà connus des services de police, auraient été visés aux membres inférieurs. L'un d'eux est descendu du véhicule et a ouvert le feu sur les deux hommes. L'une des deux victimes s'est réfugiée à l'intérieur de la station de métro, qui a dû être partiellement fermée aux usagers. Selon un témoin,  la scène a "bien duré trois minutes". Une vingtaine de douilles a été retrouvée sur le lieu de la fusillade, survenue vers 23h40 rue Louis Bonnet, à proximité de la station de métro Belleville.

Les deux auteurs présumés des tirs, qui circulaient  casqués sur un deux-roues, étaient toujours en fuite dimanche matin.


Les émeutes d'Amiens sont maintenant occultées



VOIR et ENTENDRE comment le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, a été pris à partie à la mi-août 2012 dès son arrivée à Amiens-Nord:
Le compte-rendu de BFMTV:



Autre compte-rendu, celui du Parisien:





VOIR et ENTENDRE le reportage sur le local incendié à Amiens : " 30 ans de travail partis en fumée ":


VOIR et ENTENDRE le reportage consacré à l'attaque du poste de police:



VOIR et ENTENDRE le reportage sur les saccages à Amiens : "On se serait cru dans un western":


VOIR et ENTENDRE le reportage sur les violences d'Amiens le 14 août 2012 : "Ils ont tiré à balles réelles sur les forces de l'ordre":
VOIR et ENTENDRE le reportage des promesses de Hollande: tous les moyens de l'Etat mobilisés face à la violence:


VOIR et ENTENDRE  Hollande déclarer : "Nous aurons à coeur de suivre les récidivistes" (TF1):






La photo qui fait défaut à tous ces reportages auto-censurés sur l'accueil réservé à Manuel Valls, ministre de l'Intérieur de la République, à Amiens:

2 commentaires:

  1. Ben voyons , la situation est de plus en plus intenable , ils ont assez critiqué le " karscher " de N.S.
    et maintenant que vont-ils faire ces insupportables grandes g.....

    ils sont pris à leurs propres pièges d'incompétents , rien à ajouter.

    Et Taubira on ne la voit plus ni ne l'entend plus , c'est incroyable tout de même.

    Quoiqu'il se passe, quoiqu'il arrive c'est toujours le même refrain :
    aucune action valable et immédiate

    RIEN R I E N rien et toujours rien.

    DÉSESPÉRANT ce gouvernement d'inactifs.

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  2. C'est tout de même très grave de tels évènements
    On l'avait dit et prévu au regard du laxisme affiché par Taubira et cie et le grand maître président.

    Affligeant et extrêmement triste, le rouge ne clignote plus, il reste allumé en permanence.

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