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mardi 16 août 2011

Violée: la femme de chambre victime de DSK n'a pas menti !


Le rapport médical confirme la déclaration de la victime

La femme de chambre n'est pas une menteuse.

DSK, ses avocats et le New York Times sont décrédibilisés
Le document établi par l'hôpital new-yorkais qui a examiné Nafissatou Diallo, la femme de chambre que DSK a violentée, est explicite et affirmatif.

Les notes médico-légales d'agression sexuelle, établies et archivées sur une dizaine de pages par le service des urgences de l'hôpital St Luke's Roosevelt de Manhattan, datent l'arrivée de la patiente Nafissatou Diallo au 14 mai 2011, à 15 h 59.

Les premières lignes du rapport déclarent que la patiente est "alerte, capable de se déplacer seule. Sa peau est chaude et sèche". La jeune femme est arrivée en ambulance, indique le document, accompagnée d'un policier du commissariat de Midtown, dont dépend le Sofitel de New York.
Le rapport cite les propos des ambulanciers assurant qu' "elle est une femme de ménage du Sofitel qui a subi une agression sexuelle par l'occupant d'une chambre et qu'elle se plaint aussi d'une douleur à l'épaule gauche". Ils répètent la description que Nafissatou Diallo leur a faite de l'incident pendant le transport vers l'hôpital: " Il m'a poussée vers le bas et m'a enfoncé son pénis dans la bouche."

Le personnel des urgences de l'hôpital demande à Nafissatou si elle souhaite attendre l'arrivée d'un "Safe" (sexual assault forensic examiner, un infirmier ou un interne spécialisé dans l'examen médico-légal des agressions sexuelles). La plupart des hôpitaux de New York disposent de personnel spécialisé dans l'admission des victimes de viols et de crimes sexuels. Leur rôle est d'assurer les premiers secours et soutiens psychologiques aux victimes et d'établir les premiers constats médicaux nécessaires à l'enquête ultérieure. Le médecin écrit: "Confusion, douleurs musculaires, tension." Il précise qu'elle réitère la même description de l'agression sexuelle: "La patiente déclare: "Il m'a poussée vers le bas et m'a enfoncé son pénis dans la bouche." Elle souffre de l'épaule gauche, mais, selon elle, beaucoup moins qu'en début d'après-midi." Un scanner ultérieur révélera une rupture du ligament.

Kenneth Thompson et le médecin ne laissent aucune zone d'ombre

L'avocat de Nafissatou Diallo, pugnace, ne nous épargne pas les détails sur la scène du Sofitel
, telle que sa cliente la décrit.
A lire dans L'Express.

Le compte rendu objectif du médecin

Comportement de la victime: "en larmes".
Le médecin rapporte qu'en racontant la scène du crime, la victime s'interrompt, marque des pauses, en décrivant l'acte de fellation." Le récit de la victime présumée, recueilli dans le rapport médical, a été reproduit dans le texte de la plainte civile déposée en son nom par Ken Thompson.
L'action
" L'homme nu aux cheveux blancs verrouille la porte et l'entraîne sur le lit" pour une première tentative, puis au fond du couloir, où il déchire ses collants, saisit "la partie extérieure de sa zone vaginale", "enfonce profondément son pénis dans sa bouche en la saisissant par les cheveux". Jusqu'à l'émission du sperme dont elle décrit le goût et "qu'elle crache sur la moquette".

Froidement, elle communique son constat médical
La dernière page du rapport médical comporte un schéma de la zone vaginale de la victime, un élément standard des formulaires de ce type. La partie inférieure du vagin de la patiente, la "fourchette postérieure", est hachurée au crayon pour marquer l'emplacement d'un traumatisme. A droite sur la page, le praticien a inscrit au stylo rouge "rougeur sur la fourchette". Il précise encore la localisation de la zone: "5 and 7 o'clock." Entre "5 et 7 heures", comme sur le cadran d'une montre. Le reste du feuillet est occupé par une "check-list" de la zone vaginale de Nafissatou Diallo, requise pour toutes les victimes de viol. Seule la ligne consacrée à la "fourchette postérieure" comporte un commentaire: "Trauma" (traumatisme).

Conclusion du rapport
"Diagnostic: agression. Cause des blessures: agression. Viol."


Souriants, sereins

et fiers de leur coup.


Et qu'en pensent les soutiens français de Dominique Strauus-Kahn ?
Et la journaliste Anne Sinclair, sa femme ?

Lien PaSiDupes 1 : Le Guen soutient DSK

1 commentaire:

  1. Une nouvelle fois, l'attitude des médias français est proprement scandaleuse. Tout ce qui ne va pas dans le sens qu'ils souhaitent n'est qu'affabulations ou mensonges, s'alignant encore et toujours, sur les positions du PS. Ils participent ainsi, avec certains médias américains à la mise sous pression du Juge. Ne sont-ils pas tous convaincus depuis longtemps que ce dernier abandonnera les charges qui pèsent sur DSK. C'est à la fois lamentable, pitoyable mais aussi très curieux ...

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