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mercredi 3 août 2011

Nice: des voies rebaptisées Boulevard de la Lapidation, Rue de la Burqua ou Impasse des Frères musulmans


Des 'citoyens vigilants' niçois rebaptisent des rues près d'une mosquée


'Rézé en Islam', près de ...Nantes

Pour exprimer leur désaccord, des Français non-musulmans (mais qui sait ?) avaient transformé des noms de rues de la ville de Rezé.
Ainsi, sourire en coin, la majorité silencieuse des "impurs" a-t-elle vu ses rues rebaptisées : « Rue de la polygamie », « Place de la chariah », « Impasse des allocations abusives », « Rue de la lapidation », « Rue du breizhistan », « Place morts aux infidèles », « Place Allah hakbar » ou encore « Avenue du halal impératif ».
Les Bretons vigilants condamnaient ainsi la politique de la région animée par un proche de François Hollande, surnommé La Voix de Son Maître, Jean-Marc Ayrault.


L'affaire Lies Hebbadj
, du nom du commerçant musulman « polygame présumé de fait », avait indigné la population laborieuse et incité des Français vigilants à s'opposer.

Le Bloc identitaire (BI) tenait par cette action médiatique à dénoncer le fait que dans cette commune, comme dans de nombreuses autres en Bretagne, mais aussi partout dans l'hexagone, la laïcité est de plus en plus fréquemment bafouée au profit de communautés religieuses qui souhaitent que les européens s'adaptent à un nouveau mode de vie, où le porc est désormais fréquemment proscrit des menus des cantines scolaires, où des polygames bénéficient d'avantages sociaux scandaleux, où des aides et des subventions sont attribuées de façon massive en faveur de la construction et de la restauration de lieux de culte musulmans, où des plages horaires spécifiques sont demandées dans certaines piscines pour ne pas mélanger hommes et femmes où encore l’impossibilité pour certains médecins masculins de soigner des femmes musulmanes. La liste est longue…
C'était en terre socialiste et l'affaire n'avait donc pas été ébruitée.

Une affaire identitique en terre majoritaire est une provocation


Une enquête a été ouverte pour « incitation à la discrimination et à la haine raciales » après que des identitaires niçois ont rebaptisé un petit nombre symbolique de rues près d'une mosquée de Nice (Alpes-Maritimes). Ils avaient apposé des affichettes sur les plaques des noms de TROIS rues, en tout et pour tout: « rue de la Lapidation», « rue des Frères musulmans » et « rue de la Burqa »

Sur le site de Nissa Rebela, le président de la formation radicale explique : « Le quartier Notre-Dame est devenu une véritable zone de non-droit, à commencer par la rue de Suisse où les prières bloquant la rue ont repris.» Cette rue est celle dans laquelle se trouve le lieu de culte musulman.

Les "citoyens vigilants" avaient déjà tenté en mars d'organiser un « apéro porchetta-rosé » dans le quartier, mais la préfecture s'y était opposée, invoquant une demande de manifestation trop « tardive ».
Michel Vauzelle (PS), qui se flatte d'être le président de la plus grande Région musulmane de France (lien PaSiDupes), et Patrick Allemand, un vice-président (PS) du Conseil régional Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA), avaient fait pression sur le préfet des Alpes-Maritimes pour qu'il interdise la tenue de cet "apéro porchetta-rosé".


Rien de rare;
mais un profond malaise
qu'il conviendrait de prendre en compte



La ville de Nice a l'intention de porter plainte contre la formation identitaire. « Ces actes scandaleux, en plus de causer des troubles à l'ordre public, constituent des propos de provocation à la haine raciale et à la discrimination », a-t-elle estimé dans un communiqué diffusé dans la presse locale.

Nissa Rebela avait organisé en 2005 des distributions de soupe au cochon pour les plus démunis, excluant de fait les personnes pratiquant la confession musulmane ou juive.

La mosquée de la rue de Suisse est par ailleurs au centre d'une bataille juridique depuis plusieurs semaines, après que la mairie a décidé de préempter la vente du local qui l'abrite, ce à quoi l'association Al-Baraka qui le gère s'oppose.

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