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mercredi 23 mars 2011

Des lycéennes musulmanes se disent discriminées pour leurs robes longues et noires ostentatoires

Instrumentalisation: elles sont passées du pantalon à la robe noire couvrante
Le prochain uniforme scolaire de nos filles

Le débat sur la laïcité s'ouvre dans quelques jours et justement de jeunes lycéennes musulmanes provoquent une nouvelle affaire de "discrimination". Et cela, sans attendre la fin des élections cantonales.

Les extrémistes musulmans auraient-ils intérêt à une radicalisation du débat politique, à la faveur de la montée du FN ?

Le “djilbab” bientôt uniforme scolaire ?

Jour pour jour sept ans après la promulgation de la loi sur le port de signes religieux ostensibles à l’école
, de jeunes musulmanes agitent le lycée Auguste-Blanqui, à Saint-Ouen en Seine-Saint-Denis: elles se disent victimes d'une atteinte discriminatoire. Elles sont quatre élèves qui assurent avoir été menacées d’exclusion par la direction du lycée si elles n’enlevaient pas leur "djilbab", longue robe unie, « signe ostentatoire religieux » manifeste.

En effet, trois des quatre lycéennes portent toutes non seulement un voile, mais une longue robe, noire ou bleue foncée, jusqu'ici inconnue dans nos contrées, le djil
bab. Halima et Inès livrent la même version: « La proviseur adjointe nous a convoquées pour nous dire que cette robe est un signe religieux ostentatoire et que, si on ne la retirait pas, on ne serait plus acceptées dans l’établissement. ». Pour ceux qui ne connaîssent pas encore Forsane Alizza alias Les Cavaliers de la Fierté, il s’agit d’un vrai collectif de musulmans salafistes basé à Paris.

L’affaire est une nouvelle tentative islamiste pour tester les limites de la laïcité à l’école, entre les deux tours d'une élection et dans un climat de division droite / gauche.

Une certaine presse entre dans leur jeu

Le Parisien titre: "Des élèves en longue robe se disent menacées d’exclusion"
Le quotidien marche dans le coup de la discrimination: "Un lycée de Seine-Saint-Denis bruisse de ce qui serait « une nouvelle affaire de discrimination » à l’encontre de quatre jeunes filles musulmanes."

Et Rue 89 (Libération) prend habituellement parti pour les musulmanes victimes de la violence du regard des Européens. Le site et le journal donnent la parole àPierre Tevanian, professeur de philosophie (Drancy), qui a publié un dictionnaire de l'islamisation la lepénisation des esprits.

Réaction islamique de Forsane Alizza

Un groupe nationaliste corse serait-il derrière cette affaire, vous demandez-vous?
Si vous ne parlez que le Français en France, il est légitime d'ignorer que cela désigne les “cavaliers de la fierté”. Et alors, là encore, vous vous sentez étranger dans votre pays: ni votre grand-mère, ni vos parents ne vous en ont jamais parlé. Il va donc falloir vous intégrer à ce nouveau monde qui vous entoure:
si vous n'allez pas aux musulmans, dites-vous bien, qu'eux ils viendront à vous. La preuve? Ils sont déjà là !

Pour commencer, ce commentaire dont Le Parisien ne rend pas compte.
"Suite à l’acte islamophobe dirigé à l’encontre de nos soeurs au lycée de St Ouen raconté dans cet article: " Quand le vêtement pudique n’a plus sa place dans la république" , nous avons agi fissabililah pour faire entendre notre voix afin que les ennemis de l’islam ne croient pas qu’on leur laissera le champ libre.

Ensuite une video de propagande extrémiste et injurieuse, dans une langue parfois étrangère qui pose problème au personnel de l'E.N., par exemple, ce qui sera retenu contre lui !

En termes à peine voilés, ce collectif insulte la République et menace ses représentants, mais répand librement son discours haineux dans les rues de notre "dictature" hexagonale (et de l' "Occident" entier) et sur l'Internet :
VOIR et ENTENDRE

Et enfin, voici l'intégralité de l'un des articles de propagande dont ces cavaliers sont fiers:

On notera des accents inspirés des attaques de la gauche politique

"Ils l’ont fait !
Une étape de plus dans la course à la dépravation contre nos soeurs.
Il ne suffit plus de nos jours de porter un voile en signe de soumission religieuse pour se faire attaquer.
Le terme laïcité à pris des proportions vertigineuses dans l’esprit de certaines personnes au point d’en faire leur propres interprétations.
Aujourd’hui le fait de s’habiller de telle ou telle manière, avec choix de couleur est à la limite du hors la loi. C’est ça la liberté de la femme en occident? Pourquoi reprocher aux pays de musulmans des choses dont la France n’est même pas capable de respecter elle-même?
Ce pays est devenu un dictature à n’en plus douter !
En effet, vendredi dernier, au lycée Auguste Blanqui à St Ouen en Seine St Denis, une étudiante à
[a] dû passé [en passer] par un interrogatoire qui n’ a rien à envié à ceux de la gestapo contre les juifs durant la deuxième guerre mondiale devant la proviseure adjointe de l’établissement, et d’une CPE.
L’étudiante, telle une criminelle, à
[a] été assommée de question[s] à savoir pourquoi portait-elle ce vêtement ample, plutôt que des pantalons serrés et des tee-shirts en mode fashion victime [sans 'e' final..]?
Pourquoi ne s’habillait-elle pas comme tout le monde, c’est à dire de manière dévergondée
[ce que sont les Européennes...] laissant apparaitre les formes de ses fesses et de sa poitrine?
Pour appuyer ses médiocrités, la proviseure adjointe s’est basée sur la loi de laïcité au sein d’un établissement scolaire, prétextant que la jupe de l’étudiante est un vêtement ostentatoire, et qu’elle savait parfaitement pourquoi elle portait ce genre de vêtements, ce qui sous entendait, le coté religieux…
La jeune femme à
[a] donc été « invitée » à ne plus revenir habillée au lycée dans ce genre de tenue, sinon au risque d’être exclue !
Hier matin, mardi 15 mars 2011, une autre étudiante, en terminal
[e], à [a] été convoquée à son tour alors qu’elle était en plein cours de philosophie, élève qui n’avait jamais reçu de convocation avant cela, ce qui prouve bien que ce n’est pas une élève qui donne du fil à retordre à la hiérarchie de l’établissement.
Mais comme nos opposants n’ont en général rien à nous reprocher de valable, il a fallu qu’ils se penchent sur les vêtements pudiques des lycéennes.
C’est donc dans le même registre que cette autre jeune femme a subi un essai de lavage de cerveaux
[un seul cerveau...] basé sur la laïcité, pratiqué par la même proviseure adjointe, appuyé par la CPE.
Cette étudiante remarquera qu’il y avait, sur le bureau, toute une liste avec les noms des lycéennes à convoquer pour les mêmes raisons. Un listing avait été donc dressé comme le faisaient les nazis lors des rafles
La proviseure adjointe réitéra ces propos précédemment dit à la première étudiante convoquée, en demandant à la jeune femme de ne plus venir habiller
[habillée] de la sorte au lycée, faute de quoi, elle serait renvoyée.
Cette dernière, très sure
[sûre] de sa mise en scène, demanda à l étudiante si elle comptait venir habillée autrement, et par conséquent si elle allait retirer son vêtement de pudeur, mais la jeune femme a su tenir tête en refusant de se soumettre à la dictature de cette proviseure qui élargit comme bon lui semble les règles sur les signes ostentatoires déjà extrêmement humiliant[s] pour la communauté musulmane qui fait trop profil bas depuis des années. Le silence généralisé a donc permis une aggravation de l’islamophobie alors que nous aurions du [dû] être très combatifs à ce sujet.
L’étudiante à
[a] même avisé la proviseure, qu’elle en parlerait aux membres de sa famille et au conseil des imams de France, ce qui n’avait pas l ‘air d’impressionner au vu du palmarès pas très reluisant de notre communauté. Il est évident que si cela avait été une promesse faite de la part d’un juif pour défendre un des leurs, elle aurait immédiatement compris que dès le lendemain une batterie de journaliste[s] se serait trouvée face à l’établissement et que de nombreuses plaintes auraient jonché son bureau .
Dans la même matinée, une autre étudiante de terminal
[e] à [a] été convoquée pour les mêmes raisons avec techniques d’intimidation toujours basées sur la laïcité et signe ostentatoire.
Celle-ci déclare avoir été abasourdie par de pareils propos. C’est après la pause dejeûner qu’une des 3 étudiantes convoquées est revenue au lycée accompagnée de sa mère et d’un membre du bureau du conseil des imams de France afin d’avoir une explication sur les faits déroulés un peu plus tôt.
Il est évident que les islamophobes sont d’une lâcheté sans pareil, et que « l’actrice principale » de ce fait déplorable, n’a pas dénié recevoir les personnes qui étaient venu
[es] chercher des explications, sous prétexte d’emploi du temps chargé ! Le mépris et la condescendance absolue…
De ce fait, plusieurs étudiantes ayant eu écho des derniers événements, ont refusé d’aller en cours et se sont réunies afin de débattre sur le sujet, mais « comme par miracle », la proviseure n’ayant soudain plus un emploi du temps digne d’une femme d’affaire[s], est venu[e] chercher les étudiantes en leur demandant de la suivre pour une mise au point.
Cette dernière, dans un pénible et long monologue, mis [mit] en avant tous les arguments qu’elle avait en poche afin de laisser entendre que la jupe longue, était un vêtement ostentatoire, que par conséquent, il était interdit. Mais c’était sans compter sur quelques récalcitrantes qui ont su remettre les choses dans leur contexte en demandant à la proviseure « si la mode est à la jupe longue, doit-on aussi exclure cette façon de s’habiller? »
Et lorsque l’on a demandé à la proviseur
[e] adjointe pourquoi n’avait elle pas [interrogation indirecte] voulu recevoir les personnes venus la voir pour éclaircir le problème, elle a préféré ne pas répondre et renvoyer les élèves hors de la salle.
Ces faits nous montrent une fois de plus que la guerre contre l’islam est largement ouverte, et que chacun est libre d’élargir sans scrupule la définition des mots laïcité et ostentatoire.
Cette femme hypocrite se sert d’une pseudo loi pour traquer les jeunes femmes musulmanes par haine envers l’islam.
Une petite mise au point ne serait pas négligeable.
Ils aimeraient vous voir mécréants, comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez donc pas d’alliés parmi eux, jusqu’à ce qu’ils émigrent dans le sentier d’Allah. Mais s’ils tournent le dos, saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez. [...] (Coran, sourate 4, âyat 89)
[Coran d'amour et de paix]
Ne faiblissez donc pas et n’appelez pas à la paix alors que vous êtes les plus hauts, qu’Allah est avec vous, et qu’Il ne vous frustrera jamais [du mérite] de vos œuvres. (Coran, sourate 47, âyat 35)
La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leurs main et leur jambe opposée. [...] (Coran, sourate 5, âyat 33)

Un véritable harcèlement
Ils ne seront jamais satisfaits de nous quoi que nous fassions, à quoi bon dissoudre une partie de notre din pur au risque de subir un châtiment avilissant? Nous conseillerons nos soeurs de remettre le hijab et de ne plus le quitter. Avez-vous constaté la moindre amélioration de votre condition depuis que vous avez décidé de vous soumettre à leur loi? N’écoutez pas les philosophes qui n’ont pas la moindre légitimité pour conseiller qui que ce soit en islam ou faire des fatwas. La résistance s’impose désormais et il vous faudra vous montrer fiers de ce que vous êtes !
Nous appelons les frères et soeurs à se mobiliser contre ce lycée inchaalah 01 ** ** ** 80 et leur signifier que la goutte d’eau a débordé le vase et que cela risque fortement de les emporter comme un tsunami
…"

Cette idéologie subversive n'est possible en France que du fait du soutien que la gauche lui accorde.


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