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vendredi 11 février 2011

Masculinisme: ni gigolo, ni soumis, le monde à l'envers

La domination des femmes sur les hommes, ça suffit

"Le monde à l’envers" d’Elisabeth Alexandre


France Info a abordé cet après-midi le sujet tabou de la place de la femme dans la société, sous un angle peu convenu.

Dans un article du magazine Marie-Claire, 'La domination des femmes sur les hommes, ça suffit', la journaliste, Elisabeth Alexandre a en effet traité de la place de la femme dans la société en inversant hommes et femmes...
Extrait : "Les hommes en France et dans le reste du monde demeurent les principales victimes de la violence et de la pauvreté."

"Tous les 8 mars, on parle des discriminations et des violences que subissent les femmes en Occident et dans le monde. Et pas grand chose ne change. On s’y est tellement habitué qu’on n’y fait plus attention. C’est " l’ordre des choses". En mettant les hommes à la place des femmes, on fait ressortir par l’absurde à quel point la situation est intolérable. [!] On se rend compte que si les hommes subissaient les mêmes choses que les femmes, ça paraîtrait intolérable, explique Elisabeth Alexandre.

Pour elle au lieu de parler de mouvements féministes, il faut parler de
mouvements "masculinistes". Elle évoque ainsi le mouvement "ni Gigolo ni soumis", créé après qu’un jeune homme ait été brûlé vif dans un local à poubelle.

VOIR et ENTENDRE



12 - Ni gigolo ni soumis envoyé par lascars.

Revenons à la réalité.
Les injustices qui pèsent sur les femmes sont intolérables, mais l’article montre bien que tout système de domination, que celle-ci proviennent des hommes ou des femmes, est intolérable."

ENTENDRE l’interview d’Elisabeth Alexandre par Sophie Auvigne (5'23")

Il ne manquait plus que l'instrumentalisation des hommes !

1 commentaire:

  1. Ben franchement, en France, on a des lois sexistes. Elles désavantagent les hommes. Moins de chances d'obtenir la garde de l'enfant, (c'est seulement si la mère veut bien), les femmes ont des aides a l'école et dans le monde du travail, et on parle toujours de la centaine de femmes mortes sous les coups de leur mari par ans (mari qui prend 15 ans de prison) quand on ne parle jamais de la vingtaine d'hommes qui meurent par ans sous les coups de leur femme, car ils n'ont pas le droit de se défendre. On ne parle jamais des 7500 suicides masculins par ans, dont plus de 1000 sont fait après que la mère aie retiré la garde de l'enfant.

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