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vendredi 14 mai 2010

RSA: Baroin dément la rumeur du gel des dépenses publiques

L'opposition passe son temps à lancer de fausses informations

L'opposition fait flèche de toutes les rumeurs possibles pour alarmer l'opinion.

Il devient difficile de tenir le compte de tous les faux bruits et malveillances qui prennent naissance dans les officines au service de la gauche. Tous les ministres sont tour à tour appelés à démentir et rassurer les Français.
Lire dans PaSiDupes la psychose déjà créée par l'opposition sur le "forfait social".

Le gouvernement ne touchera pas au Revenu de solidarité active (RSA)
dans le cadre de la réduction des dépenses de fonctionnement et d'intervention de l'Etat, a déclaré mercredi François Baroin.

Ni plan de rigueur...
Invité sur Europe 1, le ministre du Budget a assuré que le gel des dépenses pendant trois ans annoncé par François Fillon, n'avait rien d'un "traitement de cheval".
"Ce n'est pas du sang, de la sueur et des larmes à la Churchill qui est proposé", a-t-il dit, affirmant qu'il s'agissait d'un ralentissement de la croissance des dépenses.

Ni menace sur le RSA !
Invité à préciser si le RSA destiné à lutter contre l'exclusion, simplifier les minimas sociaux et favoriser le retour à l'emploi serait touché par le rabotage des dépenses d'intervention, comme le prétend la gauche à l'affût des moyens d'angoisser les Français, il a répondu par la négative.
"Le RSA, on y touchera pas, c'est le bouclier social, il n'y a pas de raison d'y toucher", a-t-il dit, soulignant que les arbitrages sur les crédits d'intervention ne seraient cependant pas rendus "avant fin juillet".
François Baroin a ajouté que la prime pour l'emploi avait également "ses vertus" et que les entreprises "prendront part à l'effort collectif, naturellement". Illustration montrant Cassandre implorant Minerve de punir Ajax (Jérôme-Martin Langlois, 1779-1838)

Pas d'épée de Damoclès au-dessus de la tête des fonctionnaires
A la question de savoir si les fonctionnaires pourraient pâtir d'un tour de vis brandi par la gauche, comme en Espagne socialiste, François Baroin a souligné qu'ils bénéficiaient en France de "verrous de sécurité".
Il a cité la garantie individuelle du pouvoir d'achat du traitement indiciaire des fonctionnaires et le "glissement vieillesse" qui fait que "leur niveau de vie et leur pouvoir d'achat est garanti quels que soient les choix qui sont proposés".

Encore une déception pour les malveillants
Et une satisfaction pour les Français de ne pas être sous un régime socialiste !

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