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jeudi 31 décembre 2009

Retoquage de la taxe carbone: "la victime, c'est la planète", estime Rocard

La dictature Verte menace-t-elle la planète de glaciation ?

Quelle « taxe carbone » contre les émissions polluantes socialistes ?

Les vertueux socialistes visent la perfection tandis qu'ils n'en finissent pas de se rénover dans l'opposition, mais figent le pays lorsqu'ils accèdent au pouvoir.
Depuis Jospin, tout reste à faire
, de la réforme des retraites à la taxe carbone, depuis près de 20 ans en vigueur en Suède, leur modèle inaccessible.
Comment peut-on exiger des autres la perfection du premier coup si on est soi-même dépassé par les événements ? Quand les Sages -ceux du Palais Royal- sont contaminés, la sagesse consisterait à se satisfaire de petits pas plutôt que de condamner le pays au sur-place.

Sale temps pour la planète


Michel Rocard a exprimé jeudi son "regret" après la censure de la taxe carbone par le Conseil constitutionnel, estimant que dans cette affaire "la victime, c'est la planète".
"J'ai plutôt du regret de voir le Conseil constitutionnel manifester d'une certaine façon une exigence de perfectionnisme alors que le perfectionnisme n'est pas de ce monde", a observé sur Europe 1 l'ancien Premier ministre socialiste, qui avait présidé en juin-juillet une commission d'experts sur la taxe carbone.

La planète a-t-elle essuyé la vengence du PS contre Michel Rocard ?

Soumis à des remontées gastriques, ils négligent l'intérêt général.
"Sur des problèmes de cette importance, j'espère que personne n'a joué à la politique politicienne, ce serait suicidaire", a-t-il douté.
"La victime, c'est la planète, c'est le risque qu'on combatte mal et pas assez vite le changement climatique", a poursuivi M. Rocard. "Il aurait mieux fallu que le Conseil constitutionnel émette des réserves ou des souhaits pour faire évoluer la taxe dans l'avenir", a-t-il estimé. La critique est aisée, l'art et les propositions plus difficiles.

Selon l'ancien député européen, "le Conseil constitutionnel vient de prendre quand même le risque d'arrêter tout et si on s'arrête là-dessus, il y aura crime de non-assistance à planète en danger". "Nous savions que c'était une affaire très difficile, qu'il y avait tellement d'obstacles, de contradictions, de refus, qu'on n'arriverait pas à trouver la meilleure forme de la taxe du premier coup", a-t-il également noté.

Pour autant, les Français doivent-ils regretter que la gauche ne soit pas en capacité de nous montrer de quoi elle est capable ?...

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