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samedi 7 février 2009

Une proche de la Gelée Royal annonce des boulons pour Sarkozy à Gandrange

A l’Assemblée, Filippetti incite les salariés à la violence physique

Scandale : Filippetti tend un piège au Président de la République !

De pied en cap vêtue de noir, la députée PS de la Moselle, Aurélie Filippetti, avait de noirs desseins en invitant mardi Nicolas Sarkozy à revenir à Gandrange (Moselle). Elle l’a en effet mis au défi à l'Assemblée National d’aller devant les salariés d'ArcelorMittal expliquer les effets de la crise sur ses promesses.
"A Gandrange, l'année dernière, Nicolas Sarkozy avait promis que l'Etat allait mettre de l'argent pour sauver l'aciérie, pour sauver les emplois. Un an après, rien n'a été fait", a accusé Filippetti sur Canal+, accusant le président de la République d'avoir "trahi sa parole" d’avant crise...
Le petit texte scolaire de cette petite-fille d'immigré italien ne laissait pas percevoir l'agrégée de lettres et jette un doute sur les critères de réussite à Normale Sup, ou sur le niveau requis au nom de la diversité sociale ou sur les deux.

Le 4 février 2008 à Gandrange, avant que la crise ne s'abatte sur le monde, Nicolas Sarkozy s'était engagé à faire prendre en charge par l'Etat "tout ou partie des investissements nécessaires" pour maintenir le site en activité.
Du pain béni pour ceux et celles qui se font une réputation sur leur mauvaise foi. "Il a fait des effets de manches, il a donné des coups de menton d'adjudant-chef, et puis ensuite il n'y pas eu les actes à la hauteur de ses promesses", a-t-elle très finement commenté, depuis sa bulle parlementaire épargnée par le chômage lié à la crise.


Mais elle menace aussi le chef de l'Etat d’un accueil de ses électeurs socialistes "avec des boulons".
"Il faudrait qu'il revienne à Gandrange", comme il l'avait "promis, pour s'expliquer", a poursuivi avec violence, la députée Filippetti. '"Aujourd'hui, les salariés l'attendent non pas avec des grains de riz, comme l'année dernière pour son voyage de noces, mais (...) avec des boulons", éructa l’élue socialiste.


Toutes les videos de l'association de soutien à Sa Cynique Majesté Royal sont amputées: plus de batterie juste avant les mots, d'une extrême violence, prononcés par la députée socialiste et dont le PS ne souhaite pas garder la trace.
Car, malgré les apparences, la dame n'est pas anarcho-révolutionnaire.

Le Président a répondu aux accusations
Mais, lors de son entretien télévisé du jeudi 5 janvier, le Président de la République a expliqué aux électeurs de la harpie, ce que la députée a également omis de faire.

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