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samedi 14 février 2009

La Gelée Royal se fait payer des nuitées à l’ambassade de France à Washington

Les crédits des Affaires Etrangères affectés aux voyages de Désirdavenir dans le monde ?

Est-elle à ce point précaire qu’elle n’ait les moyens de s’offrir un Formule 1 à chacun de ses nombreux voyages ?
Françoise de Panafieu n’a-t-elle pas dans le passé eu le bonheur de la croiser dans les murs de grès rose de l’Hôtel du Roi David à Jérusalem ? Ainsi, le multimilliadaire de luxe Pierre Bergé serait frappé par la crise économique internationale et il ne ferait plus face aux factures hôtelières de sa protégée ? DAL n’a pas su que l’amère Royal n’avait pas où coucher et n’a pas eu à priver un sans-abri de sa tente Décathlon : en fait, elle aurait refusé cette humiliation… Mais alors, que faisait donc Barrack Hussein Obama ce jour-là que le locataire de la Maison Blanche Noire a négligé cette star de la politique poitevine ? Lorsqu’elle s’est montrée à Bélem, Lula du Brésil lui a-t-il donné à connaître une favela ?

A Washington, celle que la Ch'tite Aubry a spoliée d'un pied à terre Rue de Solférino a demandé à être hébergée à l’ambassade de France, le temps d’une conférence de presse. Cette faveur ne lui fut pas accordée, puisqu’elle n’était en rien justifiée et d’autant moins que le PS critique le coût de la diplomatie engagée par l’Elysée...

Mais, une autre raison est moins honorable.
Sa Cynique Majesté Royal avait commencé par poser subrepticement son sac à viande à l’ambassade et personne n’avait eu le cœur de jeter Cosette à la rue. La pauvrette avait mis devant le fait accompli le personnel de la République qui avait poussé la compassion jusqu’à lui permettre de tremper sa biscotte dans le café du distributeur.

L’Elysée apprit, mais un peu tard, que la squatteuse socialiste s’était faite régaler par le contribuable. Que Sa Cynique Majesté Royal soit recueillie dans des locaux administrés par…Bernard Kouchner, qui n’a pas qu’à se louer actuellement du fair-play de ses camarades, souligne la justesse des critiques de l'amère de Melle au « môme » de l’Elysée « qui a gagné le pompon » qu’elle n’a pas su saisir. "Aimez-vous les uns les autres"...
Le culot ne suffit pas en toutes circonstances.

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