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lundi 5 mai 2008

Dray : le président bling-bling est devenu …« banal » !

Le malveillant PS dit tout et son contraire
La banalité fascine le PS
Nicolas Sarkozy est en train de "se mettre dans les habits traditionnels" d'un "banal président de la République" après la "déception" engendrée par sa première année au pouvoir, affirme dimanche le porte-parole du PS, Julien Dray, à l’issue d’un bon repas bien arrosé.
"Il est tout doucement en train de prendre ses distances avec l'opinion, de raréfier sa présence", a déclaré Julien Dray à "Forum" Radio J -comme Juju… Dray en revanche ne se fait pas rare dans les media. La polémique stérile du PS attaque même la couche d'ozone. Et les socialistes français restent les seuls en Europe à ne pas manquer d’air (pollué par les émanations de démagogie toxique de la Rue de Solférino).

Plutôt que de s’appuyer sur les faits, le professeur-chercheur en recherche de poste sonde les reins et les cœurs des masses populaires et analyse les sentiments… Scientifique, non ? "Le sentiment qui s'est installé c'est que finalement, derrière cette volonté, cette énergie qu'il avait dégagée, il était en train de redevenir banal, un banal président de la République", a-t-il dit, banalement.
Interrogé sur son impression pour résumer, synthétiser et réduire la première année de pouvoir de M. Sarkozy, il a répondu: "déception". Laconique, paresseux et décevant !

Juju Dray a toutefois confessé que Nicolas Sarkozy "nous avait impressionnés dans cette campagne présidentielle". L’énergie du candidat ne les avait pas laissés sans voix… mais leur avait coupé les jambes et la chique. "Il partait au départ d'une situation qui n'était pas favorable au regard de l'équipe gouvernementale avec laquelle il avait travaillé (...), dans un contexte social qui était très fort il avait réussi à créer le temps d'une électION une formidable illusION". Le PS se serait-il fait battre sur son propre terrain ? C'est de la poésie qu'il nous fait? Voilà que Juju parle en vers... La rime n'est pas bien riche, mais, précisément, il faut faire ...illusion de pauvreté! "On avait été impressionné [sic] au début [de sa présidence] parce qu'on a eu le sentiment [le contraire d’une certitude!…] qu'il y avait une formidable mécanique volontariste qui se mettait en place et puis tout doucement on découvre une sorte d'amateurisme, des hésitations, un mauvaise maîtrise de la situation économique du pays". Dray devrait changer ses verres…
Aurait-il le sentiment que la crise financière internationale peut être maîtrisée par la France, le soutien actif et positif du PS? Que la hausse du dollar et l’augmentation du prix du baril de pétrole n’ont aucune incidence sur la ‘situation économique du pays’ et que le PS ferait mieux en les faisant chuter? L’amateurisme de Juju Dray ne s’exprime-t-il pas plein pot à prétendre ignorer la flambée des prix des matières premières dans le monde ?

Gare à la secousse, Juju atteint le fond !
"Le fond c'est d'abord et avant tout une absence de résultat tangible au bout d'un an", a-t-il poursuivi. Ainsi reste-t-il sourd à l’approbation par les Français des premiers effets des réformes.
Le déni du besoin de temps continue .
Aux oubliettes, la pensée mitterrandienne selon laquelle « Il faut laisser le temps au temps » ! Ce qu’il appelle "la rengaine" du président et de l'exécutif, qui soulignent régulièrement que le chef de l'Etat devra être jugé sur la durée de son mandat .
"La question qui est posée c'est un jugement d'étape, d'une première étape, et à ce stade là il y a une énorme attente qui s'était créée et qui existait dans le pays, et qu'il avait lui-même alimenté par sa campagne électorale. Et la déception est à la hauteur de l'attente," a conclu M. Dray.
Juju qui peine à suivre le train des réformes veut aller plus vite que la musique…
Rappelons à se brave Juju que le train de la rénovation du PS est resté en gare, que les militants socialistes attendent toujours l’apparition miraculeuse du chef de gare et que se profile la dernière station du calvaire socialiste.
« La déception est à la hauteur de l'attente » dans les salles d’attente des gares socialistes désaffectées.

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